La colère légitime suscitée au sein de l’opinion, par les récents rapports (puisqu’il en existe désormais deux versions) d’inspection au ministère de la défense, mettant en lumière un vaste réseau de détournement de fonds destinés à équiper l’armée, n’a pas semblé, ne serait-ce par humilité, freiner l’élan d’une certaine élite bonimenteuse, constituée en « syndicat de défense du régime », en sommant ceux d’entre nous qui s’indignent, de se départir.
Introduction
Depuis l’avènement de son renouveau démocratique, le Niger a toujours oeuvré pour le renforcement de sa démocratie et de ses institutions démocratiques. Ainsi depuis 1993, des élections générales sont organisées de façon régulière dans le respect stricte de la constitution et des lois électorales en vigueur.
Je suis Dr Anasser Ag Rhissa, Président de l’ONG Tilwat International, ressortissant de la zone sahel, qui avait proposé, aux chefs d’états de la zone sahel et à leurs partenaires, la création du G7 Sahel devenu G5 Sahel.
Au terme de son second mandat, le président Mahamadou Issoufou fait face à un scandale financier qui risquerait de ruiner définitivement ses espoirs de laisser un bilan honorable de son passage à la tête du pays.
22 Avril 1967 – 21 Mai 2020, Kader, ton père l’Inspecteur d’Etat Mahamadou Aldiouma Cissé qui, de son vivant, n’avait jamais rien fait au hasard, t’a choisi un nom des plus prestigieux, l’un des Noms de Dieu de notre religion signifiant « Tout-puissant ». Ce nom correspond parfaitement à ta personnalité car tu auras durant toute ta vie réussi à démontrer que tu sais te battre pour te faire une place au soleil.
La pandémie la plus médiatisée de tous les temps, le Coronavirus ou COVID-19, qui est d’ailleurs très loin d’être la plus meurtrière, a développé une peur, une angoisse exagérée dans le monde entier. Les raisons avancées seraient le fait qu’il n’existe pas encore de traitement ni de vaccin, ni de prise en charge médicale rapide pour contenir le COVID-19 et que la maladie se propagerait à une vitesse exponentielle et ferait des millions morts. Les pays occidentaux, fortement secoués après la Chine, et qui continuent de dicter la loi dans le monde, vont alors prendre des mesures draconiennes de prévention en vue de ralentir la propagation de la maladie, dans l’attente de trouver des traitements thérapeutiques ou vaccins pour sauver des vies humaines.
« Laisse-moi tranquille avec ton Orient. L’Occident n’a pas dit son dernier mot. Crois-tu que j’abdique, moi ? J’en ai encore pour des siècles. »
Romain Rolland, Jean-Christophe.
Comme à chaque fois qu’une crise d’importance planétaire survient, les futurologues, essayistes du dimanche et autres devins auto-proclamés reprennent du service pour annoncer des « bouleversements », des « transformations radicales » et l’avènement d’un monde nouveau, un monde où plus rien n’aura le sens et l’ordonnance des choses d’antan. Tour à tour, des inventions technologiques, des changements spirituels, des crises économiques ou même des pandémies comme dans le cas qui nous occupe ici, sont annoncés comme des forces qui auraient pour effet de révolutionner l’ordre social, de changer les rapports entre les hommes et entre les nations. Il semble même que nous assisterons bientôt à la chute de l’Empire, à la disparition progressive et irrémédiable de l’hégémonie occidentale, à l’émergence de la Chine comme puissance dominante et de ce qu’on appelait autrefois « les pays du tiers-monde ». C’est le crépuscule de « l’homme blanc » nous dit-on. Voici venus le temps de l’Orient et le temps de l’Afrique. Les signes annonciateurs de ce bouleversement cosmique, on les voit, paraît-il, dans les ravages occasionnés par la pandémie en Europe à l’inverse de « l’étonnante » (au fait, pourquoi « étonnante » ?) résilience de l’Afrique. On les voit aussi dans l’apparente incapacité de l’administration américaine à endiguer la pandémie, dans la récession économique sans précédent qui s’annonce, dans les difficultés de l’Europe à parler d’une seule voix et même dans la faillite des compagnies aériennes. « C’est la fin d’une illusion », proclamait récemment Zyad Limam, dans un éditorial de Jeune Afrique. La fin d’une illusion de grandeur…pour l’Occident s’entend.
Depuis fin 2019, le Sahel fait face à une recrudescence du terrorisme. L’ancrage de ce fléau dans le paysage a conduit à augmenter la présence de forces étrangères déployées dans notre pays pour lutter contre le jihadisme. Des manifestations contre le soutien de ces troupes tentent de s’organiser dans certaines villes. Certains événements particuliers ont ainsi exalté les discours anticolonialistes, déjà présents bien avant l’avènement des réseaux sociaux. Ces derniers continuent à propager leurs rumeurs et leurs bruits malsains, repris par des personnes nuisibles qui font le jeu de terroristes et des propagandistes.
D’Allah nous venons et à Lui nous retournons ! Par le fait de la manifestation souveraine de sa volonté ! Je perds un maître et une bibliothèque ! Mohamed Ben Omar, est reparti à jamais pour l'origine d'où il vint à ce monde en 1965, aux environs du puits de Banda dans la zone pastorale de Tesker.
- IN MEMORIAM OUMAROU Ali BEIDI, dit ALZOUMA : Adieu l’ami et frère de 50 ans et plus ! (Par Djibril Baré)
- Hommage à Mohamed Ben Omar (Par Boussada Ben Ali)
- Libération de Soumaïla Cissé : nécessité d’une Approche globale inclusive et s’enquérir de ce que veulent les Djihadistes (Par Dr ANASSER AG RHISSA)
- La fête de travail, une fête contrariée cette année (Par Zakaria Abdourahaman)