Centrafrique : les preuves qui lient Armel Sayo, des élus français et un projet de coup d’État
L’arrestation fracassante d’Armel Sayo, ancien ministre centrafricain et chef de guerre, à l’aéroport de Douala le 17 janvier dernier, a mis au jour un réseau trouble impliquant des responsables français dans une tentative de déstabilisation de la République centrafricaine (RCA). Les preuves saisies révèlent une machination bien huilée : un coup d’État, des financements occultes et des complicités au plus haut niveau.
Commentaires