L’éducation est un sujet d’une grande pertinence sociale et nous remarquons un intérêt grandissant ces dernières années pour les questions de la réussite comme celles de l’échec scolaire. L’échec scolaire au Niger est patent. C’est un fait, matérialisé par les faibles taux de réussite aux examens de fin d’année et les taux élevés de redoublement et d’abandon scolaires.
Dans les contes qui ont bercé nos jeunesses, beaucoup se plaisent à relever des caractéristiques « africaines » des héros des contes du continent : politesse, obéissance aux anciens, sens de la communauté, persévérance dans les difficultés de tous ordres.
Ce samedi 20 août au Tchad s'est ouvert le dialogue national inclusif entre l'opposition civile, l’armée et la junte au pouvoir ayant pour but de « tourner la page » de la transition et permettre d'organiser des « élections libres et démocratiques ». Observateur militaire, chercheur en Études sociales et politiques Grégoire Cyrille Dongobada a partagé son point de vue sur cette rencontre de trois semaines.
Les récentes évolutions des stratégies sécuritaires au Sahel ont placé le Niger dans une position centrale qui s’explique à la fois par sa géographie et par l’apparente stabilité du pays, bien que cette dernière ne repose en réalité que sur quelques phénomènes conjoncturels. Les discours rassurants sur la capacité du pays à tenir au milieu des tempêtes géopolitiques actuelles doivent être pondérés et cette capacité relativisée. Le Président Mohamed Bazoum dispose aujourd’hui d’éléments d’analyse lui permettant de capitaliser un certain nombre d’expériences et d’affiner sa stratégie sécuritaire aussi bien en matière d’implication des populations dans leur propre sécurité que dans la rationalisation et l’optimisation de l’apport des forces étrangères présentes sur le sol nigérien.
Herbert Marcuse, L’homme unidimensionnel, disait : ‘’La démocratie plus que l’absolutisme consolide la domination. Avoir le droit d’élire les maîtres, ne supprime ni les maîtres, ni les esclaves’’. Bientôt déjà un an où presque cela, que le Président Alpha Condé se réveillait groggy au milieu de putschistes. Chemise mal boutonnée, sous-vêtement blanc qui déborde, pantalon jean et surtout mine déconfite. Au jeune soldat qui lui demande : ‘’excellence, est-ce qu’on a touché à un seul de vos cheveux ?’’, Alpha Condé répond par un regard entre mépris et impuissance. L’image est violente. Elle a fait le tour du monde. En même temps que celles le montrant dans une 4X4 traversant la ville sous les injures et huées des populations de quartiers populaires de Conakry.
Syndicalistes, acteurs de la société civile, tous groggys par la hausse du prix du gasoil, rugissent enfin à la vie publique, après plusieurs années d’un « je-m’en-foutisme » débridée qui a contribué à affecter la bonne santé de la démocratie nigérienne. « M 62 » c’est le nom de ce tout nouveau cadre de lutte citoyenne concoctée devant le péril qui guette le Niger.
D'après le dernier rapport des Nations Unies sur le sujet, la population mondiale devrait atteindre 8 milliards d'habitants en novembre 2022 pour culminer aux alentours de 10,4 milliards dans les années 2080. Certaines caractéristiques de cette évolution démographique sont anecdotiques ou symboliques et certaines autres témoignent de changements durables et de tendances profondes affectant la structure, la composition et la dynamique de la population mondiale avec des conséquences sociales, économiques et géopolitiques importantes.
Les réseaux sociaux nous font croire depuis des années que nous pouvons compter sur des milliers de personnes appelés « communément » amis. Mais cela est faux et ne semble qu’un leurre qui tend à nous valoriser au sein d’une communauté. Dans ce nombre effarant de soi-disant amis, il y a ceux qui vous aideront sans sourciller car ils sont, ceux qui regarderont les autres vous aider et passeront leur chemin et ceux en dernier qui à la vue de vos difficultés vous laisseront tomber au profit d’autres qui paraissent bien plus intéressants, doté d’un vernis beaucoup plus brillant.
S’il est un phénomène qui m’irrite au plus haut point – moi qui ne me fâche presque jamais – c’est la prise de parole publique et illégitime. Qu’est-ce à dire ?
Chaque jour que Dieu fait, nous sommes des milliers de téléspectateurs, d’auditeurs de la radio et de lecteurs de journaux à subir, impuissants, le spectacle d’individus sortis de nulle part, prétendant parler au nom du peuple pour nous dire ce que nous devons faire, en particulier nous dresser contre des dirigeants qu’ils qualifient d’illégitimes ; mieux, toujours au nom d’un peuple qui ne les a jamais élus, ils invectivent et interpellent un président élu par des centaines de milliers de Nigériens, et profèrent des insultes à l’égard d’un gouvernement et d’autres institutions de la République tout aussi légitimes, puisqu’issus de processus constitutionnels.
- « Le terrorisme n'a pas de nationalité, ni d’ethnie, ni de religion. FETO menace l'humanité toute entière » (Par S.E.M. Mevlüt Çavuşoğlu)
- « Le terrorisme n'a pas de nationalité, ni d’ethnie, ni de religion. FETO menace l'humanité toute entière » (Par S.E.M. Mevlüt Çavuşoğlu Ministre des Affaires Étrangères de la République de Türkiye)
- « Ubergate » d’Emmanuel Macron : quel rapport avec l’Afrique ? (Par Zakaria Alami)
- L'héroïsme de notre armée ne faiblit jamais face au danger (Par S. Nguema, analyste centrafricain)