Lettre ouverte à M. Marou Amadou, ministre de la justice du Niger, garde des sceaux et porte-parole du gouvernement
Mon cher Marou Amadou,Le destin a voulu que nos voies se croisent à un moment donné de la vie, et nous n’avons pas hésité de tirer grand avantage de ce rapprochement pour discuter des problèmes inhérents au Niger, au Cameroun et à l’Afrique. C’est pour attirer ton attention sur un certain nombre de faits, toi, ancien compagnon, que je t’écris.Certains de mes camarades du syndicat estudiantin camerounais d’alors et moi vivant au Togo n’oublions pas les fois que nous nous retrouvions, à vos résidences ou au Bar Kouassa Kouassa, pour nourrir des réflexions sur des questions diverses ou pour célébrer avec d’autres nationalités le 06 mai, la Journée de l’Etudiant Martyr camerounais.
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