Le Président de la Commission Nationale des Droits humains (CNDH), a présenté le 1er juin à la plénière de l Assemblée Nationale,  le Rapport annuel sur les Droits Humains de son institution portant sur l’année 2017). L’occasion pour Khalid Ikhiri de dresser un état des lieux de la situation ainsi que de formuler les recommandations de la CNDH à l’endroit des pouvoirs publics mais aussi des citoyens et autres acteurs de promotion des droits humains.

Il répondait au nom de Ari Kaka Beitou. Il est décédé hier nuit suite à l'attentat kamikaze survenu à Diffa. Ayant trouvé l'attitude de trois personnes, deux femmes et un homme, très suspecte, Ari Kaka n'a pas hésité un seul instant à les approcher et leur poser des questions sur ce qu'ils font là à tourner autour du quartier. Devant ses questions, le premier kamikaze n'a pas hésité à actionner sa charge et sauter avec Ari.

Au moins neuf personnes ont été tuées dans une série d'attentats suicide lundi soir à Diffa, la capitale régionale du sud-est nigérien, proche du Nigeria, a indiqué mardi à l'AFP un élu local.

Les deux humanitaires, un Américain et un Allemand, enlevés récemment au Niger sont "vivants", a déclaré lundi le président Mahamadou Issoufou, en visite à Paris.

"On a des nouvelles, on sait qu'ils sont vivants. On continue à créer les conditions de leur libération", a déclaré le président du Niger dans un entretien à la télévision France 24.

Le samedi dernier, 80 migrants ont été sauvés dans le désert – à 382 km de la ville d’Agadez, grâce à une mission de recherche et sauvetage organisée par l’OIM Niger en collaboration avec la Direction Générale de la Protection Civile.

Dans la matinée du 26 Mai 2018 aux environs de 10h30min, les agents de la Direction Départementale de la Police Nationale d'Arlit ont été saisis par le chef d'agence de la compagnie de transfert d'argent Nita, lequel leur signale le meurtre d'une de leurs agents, la nommée Ramatou Moumouni, née en 1987 à Arlit.

Nous reparlons de la précarité au Niger, des réfugiés soudanais originaires du Darfour. Depuis décembre 2017, près de 2 000 personnes affluent de manière ponctuelle sur Agadez. Leur statut reste flou, dans cette ville du centre du pays déjà préoccupée par la gestion des migrants qui abandonnent leur voyage pour l'Europe.

Depuis le 25 mars 2018, plus d’une vingtaine de personnes dont des responsables des organisations de la société civile, croupissent dans différentes maisons d’arrêts de la région de Tillabéry (Filingué, Kollo, Ouallam, Téra, Tillabéry et Say) et de Zinder. L’arrestation et la détention de ces défenseurs des droits humains s’inscrivent dans le cadre de la répression du mouvement citoyen lancé par la société civile contre certaines mesures antisociales et impopulaires contenues dans la loi de finances 2018, la mauvaise gouvernance et le bradage de la souveraineté nationale marqué par la présence des forces militaires étrangères.