Dans un entretien accordé à l’hebdomadaire français ‘‘Challenge’’, le président béninois, Patrice Talon, estime qu’il faut que Bolloré sorte du grand projet ferroviaire de la boucle du Niger.
DECLARATION DU SYNDICAT NATIONAL DES AGENTS DES BANQUES, ETABLISSEMENTS
FINANCIERS, INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE ET SYSTEMES FINANCIERS DECENTRALISES DU NIGER (SYNBANK)
Le Bureau Exécutif National du SYNBANK, réunit ce jour mardi 20 Mars 2018 en vue d’analyser la situation qui prévaut à la Société de Micro Finance ASSUSU-SA fait la déclaration suivante :
COMMUNIQUE DE PRESSE DU CADRE INDEPENDANT DE CONCERTATION POUR LA PRESSE (CICP)
Sept (7) journaux indépendants du Niger dont un (1) journal en ligne (voir liste à la fin du communiqué), réunis autour d’une structure dénommée Cadre Indépendant de Concertation pour la Presse (CICP), ont animé une conférence de presse ce lundi 19 mars 2018 au siège du journal l’Evénement.
Il s agit, au départ, d un Contrat relatif à un Dépôt à terme (DAT) entre ASUSU S.A (SFD) et SOPAMIN S.A (le client) portant sur 1 milliard de FCFA déposé par le client sur 25 mois (avec possibilité de renouvellement) signé le 06 juillet 2015. Selon l’article 5 dudit contrat portant sur les conditions de sa résiliation, il est stipulé que « si la résiliation est initiée par le client avant le terme prévu, les intérêts seront payables au prorata de la période écoulée sous réserve d’une notification 72 heures à l’avance ». A cet effet, la SFD (ASUSU.SA) disposera d’un délai de trente (30) jours pour la restitution des fonds au client.
Comme la directrice générale de ASUSU S.A l’a souligné dans son point de presse du dimanche 18 mars, son institution a fait l’objet ces derniers temps d’une série de demande de retrait important de fonds de la part de plusieurs de ses clients. Il s’agit pour l’essentiel des entreprises et établissements publics comme la SOPAMIN, le cas qui a le plus fait couler d’encre, mais aussi la CNSS, la LONANI, l’ARTP, la SONIDEP et plusieurs banques de la place. A priori donc une manœuvre orchestrée pour déstabiliser l’institution de micro-finance qui, à la suite de différents chocs exogènes comme l’a détaillée Réki Djermakoye, n’était pas en mesure d’honorer les différents ordres reçus de ses clients.
Après avoir pris part, le vendredi 16 mars dernier à Niamey, à une réunion de coordination Afrique-Europe, consacrée à la lutte contre le trafic illicite de migrants, le ministre de l’Intérieur français Gérard Collomb était, le samedi 17 mars dernier, à Agadez. C’est pour se rendre compte de la situation sur le terrain que M. Collomb s’est rendu sur le terrain, aux portes de la Libye.
La directrice générale de ASUSU S.A a finalement décidé de sortir de son mutisme et de relater sa version des faits à propos de l’affaire qui fait actuellement la une de l’actualité nationale. Il s’agit de l’affaire ASUSU S.A avec les différentes informations sur les risques de déstabilisation voire de liquidation de l’institution de micro-finance la plus importante du pays. Dans un point de presse qu’elle a animé, dimanche 18 mars, Madame Yacoubou Réki Djermakoye s’est largement épanché sur le sujet et est revenu sur «les menaces et chantages » qu’elle affirme subir et partant l’institution qu’elle dirige, afin de la « démissionner de son poste ».
Depuis quelques jours, circule sur les réseaux sociaux, un message attribué au commandement de la gendarmerie nationale et qui fait cas d’une alerte adressée aux différents corps sur la présence de terroristes à Niamey. Le message qui est datée du 15 mars a tout l’air d’une « alerte terroriste » sauf qu’en l’espèce il s’agit, au cas où il est authentique, d’un document qui de toute évidence relève des questions de « sureté nationale ».
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