29 ans après la tuerie du 9 février 1990 : la justice se fait attendre
9 févier 1990, la situation économique du Niger était préoccupante : chute du cours de l’uranium, vent de l’est de la démocratie.
Le gouvernement du Général Ali Seibou, le héraut de la décrispation, à son corps défendant ne pouvait que suivre et appliquer les mesures édictées par le Fonds Monétaire International (FMI) et la Banque Mondiale à travers son Programme d’Ajustement Structurel (PAS) pour sortir le pays de ce chaos économique.