BokoHaram est là. La secte impie tue, pille, brûle et ébranle. Des concitoyens meurent, fuient, ils sont désemparés, déroutés. Notre pays résiste, persiste et se tient débout. La secte perd aussi du cran. Grace au patriotisme de nos soldats. Tels sont les faits. Ils sont criards, têtus, funestes.
L’essentiel ici, ce n’est pas la « guerre » des chiffres, mais bien la « bataille » de la résistance, celle des moyens de conflit, de riposte pour anéantir la secte sombre. C’est aussi de chercher à savoir pourquoi ça « dure », c’est d’auditer tout le système de riposte, de contingence, toute « l’administration » de cette « guerre » qui ne fait que trop durer.