À Niamey, l’ONG « Ensemble main dans la main Niger-Russie » célèbre la fête nationale russe dans un esprit de fraternité et de dialogue interculturel
En ce jour symbolique du 12 juin, marqué par la Fête nationale de la Russie, l’ONG « Ensemble main dans la main Niger-Russie » a organisé une série d’événements vibrants pour célébrer les liens d’amitié entre les deux nations. Une marche citoyenne, un cours d’histoire et une dégustation gastronomique ont rythmé cette journée, témoignant de la vitalité des relations culturelles et diplomatiques entre Niamey et Moscou.
Une marche pour l’amitié Niger-Russie
Le coup d’envoi des festivités a été donné dès les premières heures de la matinée avec une marche citoyenne au départ du Stade Général Seyni Kountché. Arborant fièrement les couleurs des deux pays, les participants – étudiants, militants associatifs, membres de la société civile et invités institutionnels – ont défilé dans les rues de Niamey en signe de solidarité et d’amitié entre les peuples nigérien et russe.
« Cette marche n’est pas seulement un geste de solidarité, c’est un message fort : le Niger et la Russie partagent des valeurs communes et une volonté de coopération », a déclaré un responsable de l’ONG.
Cette marche pacifique, hautement symbolique, a illustré la volonté des citoyens de bâtir des ponts entre les nations et de soutenir les efforts de rapprochement entre Niamey et Moscou.
Une leçon d’histoire pour mieux se connaître
La célébration s’est poursuivie au siège de l’ONG par une session éducative consacrée à l’histoire de la Fédération de Russie. Animé par des intervenants passionnés, ce cours d’histoire a retracé les grandes dates qui ont façonné la Russie moderne, de la déclaration d’indépendance du 12 juin 1990 à son rôle sur la scène internationale actuelle.
Les participants ont salué cette initiative pédagogique qui, au-delà de l’aspect commémoratif, a permis une meilleure compréhension des valeurs, des défis et des contributions du peuple russe.
« Beaucoup de Nigériens connaissent la Russie par son rôle géopolitique, mais ignorent son riche patrimoine. Cette initiative comble un vide », a souligné un Nasser Issa, un étudiant présent à l’événement.
Une rencontre autour des saveurs russes
La journée s’est conclue dans une ambiance chaleureuse avec une dégustation de plats traditionnels russes. Du bortsch aux pelmeni, en passant par des spécialités sucrées peu connues au Niger, les invités ont pu découvrir la richesse de la gastronomie russe. Ce moment convivial a servi de passerelle entre les cultures, illustrant comment la table peut devenir un puissant outil de diplomatie populaire.
Par cette célébration, l’ONG « Ensemble main dans la main Niger-Russie » continue de jouer un rôle clé dans le renforcement des relations culturelles et humaines entre le Niger et la Russie. À travers l’éducation, la culture et le dialogue, elle milite pour une coopération Sud-Nord plus équilibrée et respectueuse des identités.
« Le 12 juin n’est pas seulement la fête d’un pays ami, c’est aussi l’expression d’une volonté partagée de bâtir un avenir commun fondé sur le respect mutuel et la solidarité entre les peuples », a déclaré un membre du comité d’organisation.
Un symbole fort à l’heure des nouveaux équilibres internationaux
Alors que le monde est en pleine recomposition géopolitique, cette initiative souligne l’importance croissante des relations bilatérales hors des cadres traditionnels. En célébrant la Fête nationale russe à Niamey, l’ONG inscrit son action dans une dynamique d’ouverture, de souveraineté et de rapprochement stratégique, en phase avec les aspirations nouvelles du peuple nigérien.
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L’Iran bombarde à son tour Israël, vers une escalade totale ?
Lorsque des dizaines d’avions israéliens ont survolé discrètement l’espace aérien iranien dans la nuit du 13 juin, les autorités de Téhéran n’avaient pas encore mesuré l’ampleur de l’offensive baptisée Rising Lion. Ce raid, méticuleusement préparé, a ciblé des sites parmi les plus sensibles du pays, dont les installations nucléaires de Natanz et Fordow, ainsi que des infrastructures militaires stratégiques. Des figures majeures de la Garde révolutionnaire, telles que le général Hossein Salami, auraient également été visées.
En amont de ces frappes, des agents israéliens auraient neutralisé
A suivre
les systèmes de défense aérienne iraniens, facilitant l’intervention d’environ 200 chasseurs.
Ce coup de force, présenté par Benyamin Netanyahu comme une initiative destinée à éliminer une menace imminente, a bouleversé les équilibres régionaux déjà précaires. L’offensive, qualifiée par Téhéran d’« acte de guerre », a ouvert une séquence imprévisible et tendue, dans laquelle les avertissements diplomatiques peinent à contenir la dynamique de confrontation.
L’offensive iranienne : missiles et avertissements
Quelques heures après l’annonce de l’opération israélienne, l’Iran a activé ce qu’il a appelé Severe Punishment, une contre-offensive coordonnée mêlant drones d’attaque et missiles balistiques. Plus d’une centaine de projectiles ont été lancés en direction d’Israël, visant notamment les régions de Tel Aviv et Jérusalem. Les sirènes ont retenti dans l’ensemble du territoire israélien
forçant les habitants à se confiner dans des zones de sécurité. Des explosions ont été signalées dans plusieurs quartiers, et des colonnes de fumée ont été aperçues depuis les grands centres urbains.
Bien que les systèmes de défense israéliens, dont le Dôme de Fer, aient intercepté une partie importante des attaques, plusieurs engins auraient franchi les lignes de protection, provoquant des dégâts localisés. L’armée israélienne a rapidement appelé la population à ne pas quitter les abris sans autorisation formelle. Cette mobilisation de grande ampleur traduit le niveau d’alerte maximal dans lequel est plongé l’État hébreu, désormais confronté à la possibilité d’une guerre en plusieurs actes.
Parallèlement, l’agence iranienne Mehr a rapporté l’interception d’un drone israélien au-dessus de la ville de Qom, au sud de la capitale.
n les autorités locales, les défenses anti-aériennes stationnées sur place auraient détruit l’engin. Cet épisode, bien que secondaire au regard des frappes principales, illustre l’intensité des opérations engagées dans les deux camps, et la multiplicité des théâtres d’intervention.
La communauté internationale sous tension, l’escalade semble inévitable
Alors que les capitales occidentales appellent à un cessez-le-feu et à la reprise des canaux diplomatiques, les positions semblent irréconciliables. D’un côté, Israël revendique le droit d’agir pour empêcher l’Iran de développer des capacités nucléaires militaires. De l’autre, Téhéran présente ses frappes comme une légitime défense face à ce qu’il considère comme une agression ciblée contre sa souveraineté et ses cadres militaires.
Ce nouvel affrontement marque une étape critique dans la rivalité israélo-iranienne, déjà alimentée ces derniers mois
escarmouches indirectes en Syrie, au Liban et en mer Rouge. La multiplication des zones de friction pourrait entraîner d’autres acteurs régionaux dans une logique de confrontation directe, à commencer par le Hezbollah ou des milices pro-iraniennes actives en Irak et au Yémen.
Le risque d’un débordement généralisé est désormais bien réel. Les réactions modérées de certains alliés traditionnels n’ont, pour l’instant, pas permis de freiner l’engrenage des représailles. La simultanéité des frappes, l’implication de figures militaires de haut rang et la mise en alerte généralisée des populations civiles témoignent d’un seuil franchi. Sans signal clair d’un apaisement à court terme, l’hypothèse d’un conflit durable entre deux puissances régionales nucléarisées de facto prend de l’épaisseur.
TOTO A DIT un mythe israëlien brisé, n'eussent été ces attaques sur tel Aviv, il sera dit que le DÔME DE FER INFRANCHISSABLE