Depuis quelques jours, une nouvelle polémique défraie la chronique particulièrement sur les réseaux sociaux. Il s’agit de la sanction infligée au journaliste Salou Gobi, qui a été débarqué de son poste de directeur de Production à l’ORTN, à travers une décision du ministre de la Communication, Mahaman Salissou Habi. Si aucune raison n’a été donnée dans la décision administrative, les observateurs ont vite fait le lien entre cette sanction et les propos tenus par l’ex présentateur vedette du JT de 20H30 à Télé Sahel, au cours du débat sur la situation sécuritaire, organisé le dimanche dernier dans ses locaux  par l’association  Alternative  Espaces Citoyens (AEC).

Les locaux du siège régional du FAFPA de Niamey ont abrité, mercredi 15 janvier, une cérémonie de remise de kits aux apprentis et aux maîtres d'apprentissages. Cette initiative entre dans le cadre de la mise en œuvre des interventions du Projet de Développement des Compétences pour la Croissance (PRODEC), un projet financé au Niger par la Banque Mondiale, pour lutter contre le chômage des jeunes et booster la croissance.

Une année s’achève, une nouvelle commence…

Airtel Niger durant l’année 2019 a continué à affirmer sa volonté d’offrir un monde plein d’opportunités aux populations nigériennes. Airtel Niger c’est aujourd’hui plus de 4 700 000 abonnés connectés, avec un panel de produits et service de proximité aux standards mondialement reconnus.

Plus que par le passé, Airtel Niger continuera son œuvre pour le développement de la téléphonie mobile, en permettant à l’ensemble des  nigériens - de rester en contact permanent avec leurs familles, leurs amis, leurs partenaires en affaires, même s’ils vivent dans des contrées éloignées et très difficiles d’accès.

La nouvelle rentrée académique s’annonce sous de bons auspices à Leaders Universities and Colleges for Applied Sciences (LUCAS) de Niamey. En effet, de nouvelles filières ainsi qu’un nouveau système de formation, vont venir enrichir l’offre de formation à LUCAS Universty de Niamey. C’est ce qu’à expliquer le PDG de LUCAS University, Pr Toufik Tasso, à l’occasion d’une conférence de presse qu’il a animée, en prélude à la seconde rentrée académique qui démarre à partir de février 2020.

Les Forces armées nigériennes (FAN) ont un nouveau patron : le général de division Salifou Modi, qui a été nommé ce lundi 13 janvier, en conseil des ministres, chef d’Etat-général de l’Armée (CEMA). A 58 ans (il est né le 12 octobre 1962 à Zinder), il succède au général de Corps d’armée Ahmed Mohamed. Originaire de Niamey,  où il est allé à l’école primaire de 1969 à 1975, c’est un officier valeureux de l’armée nigérienne, qui s’est fait un nom sur les différents fronts où il a servit mais aussi sur la scène politique où il a eut à jouer plusieurs rôles au sein des trois derniers régimes militaires de transition post-démocratiques qu’a connu notre pays depuis la Conférence nationale.

Le gouvernement a revu à la hausse, le bilan de l’attaque de Chinagodar, à la frontière malienne, le jeudi 9 janvier dernier. Selon le communiqué publié  ce dimanche 12 janvier, par le ministre porte-parole du gouvernement, Abdourahamane Zakaria, 89 soldats sont tombés sur le champ d’honneur et 77 terroristes ont été neutralisés. Dans un premier bilan provisoire,  le ministère de la Défense nationale a annoncé que la mort de 25 soldats et 63 assaillants neutralisés.

Alors que se réunissent à Pau le 13 janvier 2020, les principaux acteurs de la réponse militaire apportée aujourd’hui au conflit au Sahel, Action contre la Faim (ACF), le Conseil Norvégien pour les Refugies (NRC) et Oxfam, interpellent sur le manque de protection des civils et l’insuffisance de l’aide humanitaire apportée aux populations.

Les soldats victimes de  l’attaque du camp militaire de Chinagoder, le jeudi 9 janvier, ont été inhumés ce samedi matin au cimetière militaire de Niamey. Une inhumation qui s’est faite dans la sobriété, en présence des compagnons d’armes et des parents des disparus,  contrairement au vibrant hommage de la nation qui a été rendu aux 71 victimes de l’attaque d’Inatès du 10 décembre.  Alors que la nation est toujours sous le choc, l’enterrement des soldats a suscité une vive polémique au sein de l’opinion sur le véritable bilan de cette dernière attaque terroriste qui a endeuillée le pays. Selon plusieurs sources qui ont assisté à l’enterrement ainsi que ceux qui les ont vus au cours de leurs transports, c’est 89 corps qui ont été mis en terre ce samedi au Carré des martyrs, situé dans l’enceinte de la base aérienne 101.