Sécurité : une dizaine d’ex-combattants du Front Patriotique pour la Libération (FPL) déposent les armes à Agadez
Le Gouvernorat d'Agadez a accueilli ce lundi 11 novembre 2024 une cérémonie de reddition des armes par des ex-combattants du Front Patriotique pour la Libération (FPL), mouvement formé après le coup d’État du 26 juillet 2023. Conduit par le Gouverneur de la région, le Général de Brigade Ibra Boulama Issa, l'événement marque l’abandon de la lutte armée par ces individus, desormais motivés à soutenir la souveraineté nationale sous l'égide du CNSP.
Ces anciens membres du FPL, mouvement qui demande la « libération » du président déchu Mohamed Bazoum et le retour à l'ordre constitutionnel d'avant le coup d'Etat, ont remis aux autorités des armes de guerre, témoignant de leur engagement envers la paix et la réintégration au sein de la société. Le Gouverneur Boulama Issa a remercié ces anciens combattants pour leur geste, leur lançant un appel à contribuer activement au développement de la nation. Il a également invité d'autres combattants hésitants à suivre cet exemple de réconciliation nationale.
Cette reddition suit celle de début novembre, où d'autres éléments du FPL, sous la médiation d’acteurs locaux, avaient déjà déposé les armes, renforçant l'espoir d'un apaisement durable dans la région d’Agadez. Le 3 novembre, Idrissa Madaki, porte-parole du FPL, s’était déjà rendu aux autorités militaires de Madama. D’autres combattants du FPL, dont Ganey Malan, Taher Maman et Abbey Sarouk, avaient également remis leurs armes aux autorités le 1er novembre, apportant avec eux plusieurs armes de guerre et munitions.
Ces événements marquent une avancée majeure vers la stabilisation de la région et témoignent de la puissance de l'engagement patriotique et de la solidarité nationale dans la quête de paix. Ils soulignent également l’importance de la réconciliation face aux défis sécuritaires persistants, en particulier après les actions de sabotage de la Société Nigérienne d’Exploitation du Pétrole, menées par le FPL.
Mohamed Cissé (actuniger.com)
Se disent RebellES
Pardonner certes et sans oublier ..et si elles ont continué à des morts de Nigeroi , qu'elles en soient tenues redevables en respect pour les familles des défunts et à titre dissuasif même si des circonstances atténuantes et de bonne volonté doivent être prises en compte en allégeant les peines ...
Sinon tu vas prendre les armes contre ton pays , tuer tes frères et sœurs , détruire des infrastructures coûteuses , revenir dire que tu t'es amendé et espérer en signe de réconciliation être intégré dans les Forces de Sécurité et les FAN .....
TOTO A DIT dit une fois traite envers son pays et ses frères et sœurs , toujours traite ...
Et RHISSA Boula est un parfait exemple qui malgré ses errements par le passé et à qui le Niger a tout donné , a rebeloté en recidivant dire reprendre le maquis et c'est un chenapan pareil qui fut ministre et conseiller à la Présidence ....