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Lancement Projet MEDU 24 09 2024

La salle de réunion Hall Africa de Niamey a accueilli ce mardi 24 Septembre 2024, le lancement officiel du projet "Promotion de la coexistence pacifique, de la protection et du dialogue inter-religieux au Niger", une initiative majeure portée par l'ONG italienne Medici per i Diritti Umani (MEDU), en partenariat avec des acteurs locaux et internationaux tels que Caritas Développement Niger (CADEV-Niger), Alternatives Espaces Citoyens (AEC), l'ONG Apurimac et l'ONG Emilia Romagna avec le soutien technique de la Direction Régionale de la Santé Publique de Niamey. Financé par l'Agence Italienne pour la Coopération au Développement, ce projet de 24 mois touchera directement 44 524 personnes dans les cinq communes de Niamey, visant à renforcer la cohésion sociale et l'inclusion socio-économique à travers une approche intégrée. Parmi les bénéficiaires, 25 000 personnes seront sensibilisées à la santé reproductive et aux droits liés à la santé, tandis que 400 femmes vulnérables participeront à des programmes d’autonomisation économique et 770 personnes suivront des formations sur les droits de l'homme et la coexistence pacifique. L'initiative ambitionne d'améliorer les conditions de vie des communautés locales et migrantes, tout en favorisant le dialogue inter-religieux et la protection des droits de l'homme, en mettant un accent particulier sur les populations vulnérables, notamment les migrants, avec une attention sur l'accès aux services de santé de base et la réduction des tensions communautaires.

La disponibilité et l'accès aux services de santé sont des priorités pour cette initiative, qui inclut la mise en place de cliniques mobiles, des formations pour le personnel de santé, ainsi que des activités de sensibilisation à la santé et à la nutrition. Cette approche holistique répond à des besoins urgents identifiés dans des études menées sur la population migrante et locale à Niamey. La situation précaire des familles vulnérables, particulièrement des femmes et des enfants, sera également traitée par des programmes de soutien nutritionnel et des activités génératrices de revenus.

La cérémonie de lancement du projet a été présidée par M. Guimbé Koché Ragiou, Secrétaire général adjoint du Gouvernorat de Niamey. Elle s'est tenue en présence de Mme Anna Quattrone, représentante de l’Ambassade d’Italie au Niger, de M. Fabio Minniti, représentant de l’Agence Italienne pour la Coopération au Développement (AICS), de M. Alberto Barbieri, coordinateur général de l’ONG MEDU, de M. Badis Merimeche, représentant pays de l’ONG MEDU, ainsi que de M. Moussa Malam Barke, Directeur adjoint de la santé publique et de la population, et de nombreux autres partenaires et invités. 

 

Medici per i Diritti Umani (MEDU) inaugure un projet innovant pour promouvoir la coexistence pacifique et l’inclusion sociale au Niger

Dans son mot de bienvenue, M. Badis MERIMECHE, Représentant pays de Medici per i Diritti Umani (MEDU), a exprimé sa gratitude envers les participants, saluant leur engagement à cette initiative importante. « Ce projet, financé par l'Agence Italienne pour la Coopération au Développement (AICS), s’inscrit pleinement dans les efforts du Gouvernement du Niger et de la communauté internationale pour atteindre les Objectifs de Développement Durable (ODD). Notre ambition est claire : promouvoir l’inclusion sociale, économique et politique de tous, sans aucune distinction d’âge, de sexe, de race, de religion ou de statut économique, a déclaré M. Badis MERIMECHE, Représentant pays de Medici per i Diritti Umani (MEDU).  « Notre objectif est de réduire toutes formes de violence et d’inégalités tout en renforçant la coexistence pacifique dans les cinq communes de la Communauté Urbaine de Niamey », a souligné M. MERIMECHE.

Selon le représentant pays pays de MEDU, le projet vise également à soutenir les stratégies du Gouvernement nigérien, notamment dans l’amélioration de l’état sanitaire de la population, la promotion de l’inclusion sociale et la réduction des inégalités de genre. M. Badis MERIMECHE a rappelé l’importance de ces initiatives pour renforcer la cohésion sociale, particulièrement dans un contexte migratoire sensible : « Il est essentiel que nous travaillions ensemble pour offrir à la fois des services de base en matière de santé et des opportunités économiques, tout en encourageant le dialogue et le partage entre migrants et populations locales ».

« Les résultats attendus de ce projet sont ambitieux », a souligné M. Badis MERIMECHE. « En premier lieu, nous visons à améliorer l'accès aux services de santé de base et à développer des activités génératrices de revenus collectives pour les communautés bénéficiaires. En second lieu, nous nous engageons à renforcer la coexistence pacifique et l’inclusion sociale ».

Enfin, M. Badis a souligné que la réussite du projet reposera sur une coordination étroite entre les partenaires, à savoir Caritas Développement Niger (CADEV-Niger), Alternatives Espaces Citoyens (AEC), l’ONG italienne Apurimac ETS et Nexus Solidarité internationale. « Nous travaillerons en étroite collaboration avec la Direction régionale de la santé publique (DRSP) de Niamey, ainsi qu’avec divers centres de santé et institutions locales. Le suivi et l’évaluation seront assurés avec le soutien du Gouvernorat de Niamey », a-t-il précisé avant de conclure son intervention en remerciant chaleureusement l’audience pour leur attention.

 

Renforcer la paix et autonomiser les femmes pour une coexistence pacifique

Lors de la cérémonie officielle du lancement du projet « Promotion de la coexistence pacifique, de la protection et du dialogue inter-religieux au Niger » de l'ONG MEDU, M. Guimbé Koche Ragiou, Secrétaire Général Adjoint du Gouvernorat de Niamey, a pris la parole pour livrer un discours à la fois solennel et engageant. Dès le début de son intervention, il a tenu à transmettre les salutations fraternelles du Gouverneur de la Région de Niamey, le Général de Brigade Assoumane Abdou Harouna, exprimant ensuite sa gratitude envers les participants pour leur présence à cet événement important.

« Le développement économique et social de notre pays requiert la contribution active de nos partenaires, notamment les ONG », a déclaré M. Ragiou, soulignant le rôle central de ces organisations dans l’accompagnement de l’État. Il a rappelé que, bien que l’État reste le principal acteur du développement, les ONG ont un rôle complémentaire à jouer, particulièrement en cette période où les axes stratégiques du CNSP, définis par le Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), S.E le Général Abdourahmane Tiani, visent à renforcer l’indépendance et la prospérité du Niger.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Sur les 324 ONG et associations de développement répertoriées, seules 177 ont soumis leurs rapports, contribuant ainsi à la transparence et à l’efficacité des actions sur le terrain. M. Ragiou a révélé que la contribution des ONG s’élevait à 751 millions de francs CFA au cours des deux dernières années, un apport significatif dans la lutte contre la pauvreté et l’amélioration des conditions de vie au Niger. Il a, à cet égard, salué l’effort constant des organisations engagées dans la promotion du bien-être des populations nigériennes.

Dans une transition vers le cœur du projet, M. Ragiou a tenu à féliciter l’ONG MEDU pour sa collaboration exemplaire avec le Gouvernorat de la Région de Niamey, en particulier pour la bonne gestion des aspects techniques et administratifs liés à la signature du Protocole de Mise en Exécution (PME). « Cet acte est à saluer et doit être pérennisé », a-t-il affirmé, incitant les autres ONG à suivre cet exemple pour assurer une mise en œuvre efficace des projets de développement.

Le Secrétaire Général Adjoint n’a pas manqué de dresser un tableau des nombreux défis auxquels fait face la ville de Niamey, notamment les inondations, l’insécurité alimentaire, la délinquance et les conflits dans les pays voisins, autant de menaces qui pèsent sur les populations locales. « Les risques urbains affectent gravement les conditions de vie, en particulier celles des ménages les plus vulnérables », a-t-il souligné. Cette situation, exacerbée par l’urbanisation rapide et l’accroissement de la population, appelle une gestion proactive des risques, devenue une priorité du CNSP.

C’est dans ce contexte que le projet de l’ONG MEDU vient répondre à des besoins urgents. M. Ragiou a mis en avant les objectifs principaux de ce programme, qui se concentre sur l’autonomisation économique des femmes, la réduction de la pauvreté, et la promotion du dialogue interreligieux pour renforcer la cohésion sociale. Il a insisté sur l’importance de l’inclusion sociale des femmes, en particulier celles vivant dans des zones reculées, à travers des activités génératrices de revenus (AGR). Ces initiatives visent non seulement à améliorer l’accès aux services essentiels, mais aussi à créer des ponts entre les différentes communautés, autochtones et migrantes.

« Ce projet n’est pas seulement un programme de soutien économique, c’est aussi un outil puissant pour encourager le dialogue et la coexistence pacifique », a-t-il affirmé. En effet, l’une des principales missions du projet est de favoriser la paix et la sécurité à travers des actions de sensibilisation, des initiatives culturelles et des groupes de formation aux droits de l’homme. Cette approche, selon M. Ragiou, permettra de renforcer l’inclusion sociale et d’instaurer une cohabitation harmonieuse entre les différentes communautés religieuses.

Avec un optimisme évident, M. Ragiou a conclu en exprimant sa confiance dans le succès de ce projet, saluant l’engagement et l’ouverture d’esprit des équipes sur le terrain. Il a ensuite remercié l’ONG MEDU pour l’organisation de la cérémonie et les efforts qu’elle déploie pour la réussite de cette initiative. « Je suis convaincu que, grâce à notre engagement collectif, ce projet apportera des résultats concrets et durables pour les communautés de Niamey et au-delà. »

 

Lancement d'un projet clé pour la paix et le dialogue interreligieux

Après le discours inspirant du Secrétaire Général Adjoint du Gouvernorat de Niamey, M. Fabio Minniti, Représentant de l’Agence Italienne pour la Coopération au Développement (AICS), a pris la parole lors de cette cérémonie d’inauguration, marquant ainsi une étape décisive dans le lancement du projet. Exprimant sa satisfaction de participer à cet événement significatif, il a souligné que ce projet va bien au-delà du domaine de la santé, touchant à des dimensions variées du développement social et communautaire. M. Minniti a mis en lumière la qualité de l'ONG MEDU, choisie avec soin pour son expérience et son ancrage local, ainsi que l'importance d'une relation constructive entre l'État et les ONG, qui vise non pas à remplacer, mais à accompagner le développement.

C'est dans cette même dynamique d'engagement et de solidarité que Quattrone Anna, Représentante de l’ambassade d’Italie, s'est ensuite exprimée avec une profonde émotion. « Je suis très heureuse d'être ici aujourd'hui, » a-t-elle déclaré, mettant en avant l’importance significative de cet événement. Elle a souligné que « cette initiative est non seulement actuelle mais également essentielle, car elle aborde des questions cruciales comme l'inclusion socio-économique et l'accès aux services sanitaires ». 

En prenant la parole à son tour, M. Moussa Malam Barke, Directeur Adjoint de la santé publique et de la population, a exprimé sa satisfaction et a souligné l’importance de cet engagement pour renforcer la cohésion sociale au Niger. Il a rappelé que l'ONG Medu, déjà active à Niamey, apporte un soutien technique et financier, notamment par la formation de 30 agents de santé sur le MHGAP pour intégrer les soins de santé mentale dans les services offerts. M. Barke a également mis en avant les initiatives de sensibilisation menées dans les écoles, où 62 missions ont été réalisées pour aborder des problèmes tels que la toxicomanie et la gestion des cas d'épilepsie. Il a affirmé que le nouveau projet s'inscrit dans le cadre des Objectifs de Développement Durable (ODD), soulignant l’importance d’initiatives collectives pour un développement durable. Enfin, il a exprimé sa gratitude envers l'ONG Medu et les partenaires, tout en assurant le soutien du ministère pour la mise en œuvre du projet, en lien avec le plan de développement sanitaire et social 2022-2026.

Après les discours des officiels, les différents partenaires du projet ont pris la parole à tour de rôle. M. Abba Tchari Arimi, représentant de l'Association Alternative Espaces Citoyens, a exprimé la fierté de son organisation de collaborer pour la deuxième fois avec l'ONG italienne MEDU. Après une première collaboration fructueuse sur la santé mentale, il a salué les résultats encourageants du projet et l'expertise de son association en matière de communication pour le changement de comportement. Le nouveau projet, axé sur la coexistence pacifique et le dialogue interreligieux, se distingue par son caractère innovant. M. Arimi a réitéré l'engagement de son association à garantir le succès de cette initiative avec la même détermination.

Objectifs Alignés avec les ODD

Le projet s'inscrit pleinement dans les Objectifs de Développement Durable (ODD), notamment l'ODD 10 (Réduction des inégalités) et l'ODD 16 (Paix, justice et institutions efficaces). Il vise, entre autres, à promouvoir l'inclusion sociale et à réduire la violence à travers des actions concrètes de sensibilisation et de renforcement des capacités communautaires.

Les résultats attendus incluent une amélioration significative de l'accès aux soins de santé pour 16 000 bénéficiaires grâce à des services mobiles et fixes, ainsi qu’une augmentation des opportunités d'inclusion socio-économique pour les femmes vulnérables à travers des activités génératrices de revenus. Des formations seront également dispensées à 154 agents de santé pour améliorer les pratiques médicales et l'utilisation de systèmes de gestion de l'information sanitaire, comme le DHIS2.

Bénéficiaires et Durabilité

Le projet bénéficie directement à 44 524 personnes, dont 25 000 sensibilisées à la santé reproductive et aux droits liés à la santé. Parmi les autres bénéficiaires, 400 femmes vulnérables prendront part à des programmes d’autonomisation économique, tandis que 770 personnes participeront à des formations sur les droits de l'homme et la coexistence pacifique.

Grâce à la collaboration avec des partenaires tels que Caritas Développement Niger (CADEV-Niger), Alternatives Espaces Citoyens (AEC) et l'ONG Apurimac, l'initiative assure une approche durable et inclusive. Le projet bénéficie également du soutien technique de la Direction Régionale de la Santé Publique de Niamey, garantissant ainsi une pérennité institutionnelle et sociale.

Ce projet représente un modèle de coopération internationale orienté vers l'inclusion et la protection des plus vulnérables. Face aux défis posés par la migration, les inégalités économiques et les tensions sociales, il propose des solutions concrètes pour une coexistence harmonieuse au Niger. En renforçant le dialogue, l'accès aux soins de santé et les opportunités économiques, ce projet s’affirme comme un levier pour la paix et la prospérité partagée à Niamey.

Moustapha Siddo (actuniger.com)



Commentaires

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TOTO A DIT
Hier
:D :D C'EST QUOI CE BORDEL THÉMATIQUE !!!! pour amuser la galerie et vouloir se faire important... :eek:

De quelle promotion novatrice et de dite inclusion sociale fait on cas même ou parle t on là même ???

S'il n'yavait pas de mutuelle tolérance et parfaite harmonie entre les Nigeroi, est ce que les Nigeroi allaient cohabiter pacifiquement et en fusion depuis les temps des KAOCEN, SARANOUIA , Alpha et plusieurs autres ( éclairez TOTO A DIT comme il s'avère un Novice en Histoire , il a eu une amnésie au niveau de certains noms d'Héros du Niger :-) ;-) )

C'est dire s'il n'y avait pas eu de manière séculaire, une cohabitation harmonieuse entre les différentes communautés du Niger , est ce qu'il aurait même eu évocation de PARENTS À PLAISANTERIE ???

APPAREMMENT, ces Blancs animateurs de ce non sens , semblent se tromper d'espace ..

Pourquoi n'importe quel farfelu venant de l'occident se voir donneur de leçons ?
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Justice au Peuple
Hier
Ne leur en veut pas a ces blancs becs TOTO A DIT, la faute incombe aux nôtres qui sont preneurs de tout et de rien dès lors qu'ils ont des jetons de présence et des pauses cafés bien garnies. La fierté patriotique a disparu du nigérien depuis le règne des voleurs et des injustes. Allons seulement
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TOTO A DIT
Hier
Sous une autre note , quand l’AES veut deux satellites dont un à but militaire et que TOTO A DIT partage :

L’Alliance des États du Sahel (AES), née en septembre 2023 de l’union du Mali, du Burkina Faso et du Niger, marque une nouvelle ère de coopération régionale.

Cette confédération, fruit d’une volonté commune de faire face aux défis sécuritaires et de développement, a émergé dans un contexte de tensions avec la communauté internationale, notamment après les coups d’État successifs dans ces pays. L’AES se veut une réponse pragmatique aux besoins pressants de la région, alliant défense mutuelle et intégration économique. Aujourd’hui, cette alliance franchit une étape audacieuse en se tournant vers les étoiles pour asseoir sa souveraineté.

Un bond technologique pour le Sahel
Le projet spatial de l’AES, dévoilé lors d’une rencontre stratégique à Bamako, témoigne d’une ambition sans précédent pour la région.

A suivre
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TOTO A DIT
Hier
Suite 1

Deux satellites sont au cœur de cette initiative :
✓ l’un dédié aux TÉLÉCOMMUNICATIONS,

✓ l’autre à L’OBSERVATION TERRESTRE.

Ce programme vise à révolutionner l’infrastructure numérique du Sahel, promettant une meilleure couverture Internet ainsi qu’une diffusion étendue de la Radio et de la Télévision.

Le Directeur Général de GLAVKOSMOS, ILYA TARASENKO, a souligné l’ampleur des bénéfices attendus, allant de la sécurité à l’essor économique.

Cette coopération pourrait marquer le début d’une nouvelle ère technologique pour le Sahel, propulsant la région sur la scène internationale des puissances spatiales émergentes.
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TOTO A DIT
Hier
Suite 2 et fin

Le Colonel ASSIMI GOÏTA, Président en exercice de l’AES, a exprimé un soutien sans faille à cette initiative.

Son engagement reflète la détermination des pays sahéliens à se doter des outils nécessaires pour façonner leur propre destin.

En embrassant l’ère spatiale, l’AES cherche à redéfinir sa place sur l’échiquier mondial, transformant les défis en opportunités de croissance et d’innovation.
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1
Émile
Hier
C'est bien mieux d'avoir les têtes dans les étoiles que de garder les pieds dans la bourbe sahélienne.
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Zeyna commission0

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