L’ancien Président Issoufou a quitté Niamey pour Addis Abeba
L’ancien Président de la République Issoufou Mahamadou a quitté Niamey, hier mercredi 14 février dans la soirée, à destination d’Addis Abeba, en Ethiopie, où il assistera à des évènements organisés en marge du 37e Sommet ordinaire des Chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union Africaine (UA). C’est le premier déplacement hors du pays de l’ancien Chef de l’Etat depuis les évènements du 26 juillet 2023 et la prise du pouvoir par les militaires du CNSP.
C’est à 22h30 que le vol spécial transportant l’ancien chef de l’Etat a quitté l’Aéroport international Diori Hamani à destination d’Addis Abeba. C’est à bord ‘un jet privé venu spécialement d’Accra que Mahamadou Issoufou a embarqué du Pavillon présidentiel, en compagnie des membres de son cabinet et de sa sécurité.
Dans la capitale éthiopienne, l’ancien chef de l’Etat va assister à des évènements organisés en marge du 37e Sommet ordinaire des Chefs d’Etat et de gouvernement de l’UA, pour le compte de qui, il est toujours Champion pour la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf).
C’est le premier déplacement hors du pays de l’ancien chef de l’Etat depuis le coup d’Etat du 26 juillet dernier et le renversement du régime de Bazoum Mohamed, son dauphin et successeur à la tête du PNDS Tarrayya et de l’Etat.
Depuis les évènements qui ont vu la prise du pouvoir par les militaires du CNSP, avec à leur tête son ancien commandant de la garde présidentielle, le Général Abdourahamane Tiani, l’ex chef de l’Etat n’a fait que quelques rares déclarations publiques. Il n’a par exemple condamné le coup d’état que tardivement et du bout des lèvres mais s’est par contre catégoriquement opposé à une quelconque intervention militaire de la Cédéao pour restaurer l’ordre constitutionnel, appelant plutôt à « une solution négociée » de sortie de crise.
Le silence de l’ancien Président sur les évènements du 26 juillet 2023 et sur la transition en cours n’a cessé d’alimenter les rumeurs les plus folles ainsi que les informations contradictoires sur son véritable rôle sur la prise du pouvoir par les militaires. Au sein de son parti, le clan dit des proches de Bazoum Mohamed n’hésite pas à qualifier publiquement l’attitude d’Issoufou Mahamadou de « trahison ». D’autres continuent à croire qu’il a une main dans la conduite de la transition notamment des négociations avec certains chefs d’état de la sous-région pour faire accepter le coup de force et lever les sanctions contre le pays. Ces derniers temps, certaines informations font même cas d’une possible levée de son immunité présidentielle ainsi que celle de son successeur qui est toujours détenu au Palais présidentiel.
En décembre dernier, l’ancien chef de l’Etat qui continue de présider la Fondation éponyme qu’il a lancée après son départ du pouvoir (FIM), n’a pas pu assister au Sommet ordinaire de la Cédéao pour le compte de qui il était Médiateur pour le Burkina Faso mais aussi champion de la Task force sur la libre circulation des biens et des personnes. En septembre également, il n’a pas pu se rendre à New York pour assister à l’Assemblée générale des Nations Unies alors qu’il président le Panel spécial mis en place par le Secrétaire général de l’ONU pour le Sahel.
Bien qu’aucune charge ne soit retenue contre l’ancien chef de l’Etat, qui continue de bénéficier de l’immunité présidentielle consacrée par les textes en vigueur, le cas de Mahamadou Issoufou revient fréquemment au devant de l’actualité nationale. Des militants de la société civile ont à plusieurs reprises demandé aux autorités de transition, la mise à disposition de l’ancien président à la justice afin qu’il réponde de certains scandales qui ont éclaté sous ses dix ans de règne et dans lesquels son nom est régulièrement cité. Pour l’heure sans effet car de toute évidence, l’ancien Président est libre de vaquer à ses occupations.
Ce déplacement à Addis Abeba lui permettra certainement de jouer de ses relations pour que les sanctions imposées au Niger par la Cédéao soient allégées. Ce qui pourrait bien servir les autorités de transition qui à défaut d’envoyer des émissaires officiels dans la capitale éthiopienne, le Niger étant suspendue de l’instance continentale, peuvent s’accommoder d’un émissaire officieux d’autant que sur la scène internationale et panafricaine, Issoufou n’est pas n’importe qui quoi qu’on dise!
Il importe de noter qu’il y a quelques jours, l’autre ancien Président Mahamane Ousmane a séjourné en Tunisie où il a assisté à une Conférence internationale organisée par un think-thank sur la situation en Lybie.
A.Y. Barma (actuniger.com)
Commentaires
Il devait être en prison depuis fort longtemps.
Et que TOTO A DIT partage, Sans réellement savoir ce qui est vrai ou faux du Narratif du prisonnier ITTE obligé de manger nourriture de 🐱🐱 :
Ces derniers mois, il a été reproché à la Direction générale de la sécurité extérieure [DGSE] de ne pas avoir vu venir le coup d’État qui a renversé le président nigérien, Mohamed Bazoum, au profit du général Tchiani, le 26 juillet 2023.
Et cela alors que d’autres services de renseignement, notamment américains, n’ont pas été plus perspicaces. L’ambassadeur de France au Niger, Sylvain Itté, en a donné l’explication lors d’une audition à l’Assemblée nationale, en novembre dernier... [le compte-rendu vient seulement d’être publié].
A suivre
Ainsi, a rappelé le diplomate, la DGSE avait principalement à s’occuper de la lutte contre les groupes armés terroristes [GAT], dans le cadre d’un partenariat avec les services de renseignement nigériens.
Avait-elle les moyens d’aller au-delà de ce mandat?
« Avec le recul, on peut se demander s’il n’aurait pas fallu disposer de plus d’antennes dans le système politique nigérien », a admis M. Itté.
Cependant, cela n’a pas empêché de constater une « distorsion » entre le président Bazoum, dont la vision pour le Niger était « en décalage assez marqué avec le reste de la société ».
Aussi s’est-il « progressivement coupé de la réalité du pays », a-t-il ajouté.
Ce constat pouvait-il nourrir les craintes d’un nouveau putsch au Sahel ?
À vrai dire, celui-ci a surpris tout le monde,
y compris, sans doute, les putschistes eux-mêmes…
Et cela à cause d’un « paramètre que personne ne pouvait imaginer », à savoir « l’implication directe de l’ancien président Issoufou ». Pour l’ambassadeur, on « peut avancer, sans grand risque de se tromper, qu’il a fomenté, ou pour le moins accompagné, le coup d’État contre son successeur ».
L’une des motivations de ce putsch serait liée au trafic de pétrole, alors « géré par les Chinois ».
Selon M. Itté, le président Bazoum avait inscrit son action dans la perspective d’une hausse importante de la rente pétrolière, grâce à un pipeline partant des sites de production jusqu’au port de Cotonou [Bénin]. Pour cela, il avait l’intention de remettre à plat la « gouvernance pétrolière », quitte à bousculer certains intérêts.
« Le jour du coup d’État devait se tenir un conseil des ministres pour créer une nouvelle société pétrolière dont le gouvernement nigérien aurait été majoritaire, et le président Bazoum avait refusé que le directeur général soit celui qui lui était proposé par le ministre du pétrole et qui n’était autre que le fils Issoufou », a avancé le diplomate.
Dans cette affaire, la Russie n’a, a priori, joué aucun rôle significatif, même si elle ne s’est pas privée de mener une lutte informationnelle contre la France au Niger, en y « achetant » des relais d’influence.
« La stratégie des Russes est celle du désordre et du coucou. Ils ne sont pas les instigateurs des mouvements, ils n’en ont ni les moyens ni l’envie. […] Ils n’ont aucunement l’intention de s’installer en Afrique ni d’y prendre des ressources minières –
– exceptés l’or et le diamant qui sont faciles à extraire […]. Ils n’ont pas de stratégie d’influence à court, moyen ou long terme sur ce continent mais, notamment depuis le début de la guerre en Ukraine, ils ont engagé une politique du chaos et de la désorganisation qui, malheureusement, fonctionne assez bien », a expliqué M. Itté.
Cela étant, il n’en reste pas moins que cette lutte informationnelle menée par la Russie nourrit un discours anti-français, auquel une petite frange de la population nigérienne est sensible [à ce propos, l’attitude de certains médias français de l’audiovisuel public a suscité quelques interrogations, selon M. Itté]. D’où la présence de drapeaux russes qui a pu être constatée dans les rues de Niamey… ainsi que lors de la « manifestation » organisée devant l’ambassade de France par le mouvement civil M62 [dont les dirigeants seraient stipendiés par Moscou], le 30 juillet.
Les guillemets s’imposent car cette « manifestation » n’en était pas une…
En effet, M. Itté a parlé d’une « attaque », dont le « dispositif » était comparable à celui de l’assaut de l’ambassade des États-Unis en Iran, en 1979. « Il y a eu une volonté d’entrer dans le bâtiment et de l’incendier. Le consulat […] a été entièrement saccagé », a-t-il dit.
Sur des photographies montrées aux députés, on voit un « membre des forces de l’ordre nigériennes censées assurer la protection de l’ambassade juché sur un véhicule de la Garde nationale – d’ailleurs placé contre le mur de l’ambassade pour permettre aux manifestants de grimper plus facilement sur le mur – en train de haranguer la foule, tenant à la main un drapeau russe encore plié car à peine sorti de son emballage » ainsi que des « milliers de pierres » qui ont été lancées contre le bâtiment « pendant près de deux heures ».
« Nous sommes passés à deux doigts d’une catastrophe puisque nous avions tiré toutes nos munitions non létales et que je venais de donner au chef de la sécurité l’autorisation de tirer […] parce que la vie de 70 à 80 personnes dans l’ambassade était menacée », a continué le diplomate, après avoir rendu un hommage appuyé aux « gardes nigériens » d’une société privée de gardiennage qui « nous ont pour une bonne part sauvé la vie ».
La situation s’est ensuite apaisée après que le président Macron a appelé Mahamadou Issoufou, qui « semblait la clé de tout ». Et il a su être persuasif car, relate M. Itté, « dix minutes plus tard, le général Modi, numéro 2 de la junte, était devant l’ambassade pour calmer les troupes, et dans les dix minutes suivantes tout le monde était parti ».
Ce témoignage éclaire les déclarations faites à l’époque par Paris, qui avait promis une « réponse immédiate et intraitable »
en cas d’attaque contre les ressortissants français.
Par ailleurs, le diplomate a dénoncé le double discours tenu par les certains États après le putsch. « Les États-Unis, pour garder leur base d’Agadez, ont placé la libération du président Bazoum et le retour à l’ordre constitutionnel au bas de leurs priorités. Certains pays européens n’ont d’ailleurs pas fait mieux », a-t-il dit. Et d’insister : « Des États qui étaient les premiers à soutenir Bazoum ont été les premiers à l’abandonner ».
Si Issoufou peut aider à la levée des sanctions alors tant mieux.
Le Niger d'abord, le Niger toujours!
Pourtant la cedeao est une des 8 communautés économiques régionales africaines reconnues et placées sous l'autorité de l'Union Africaine.
Garde la pêche mon frère. C'est débat c'est pas bagarre.
Tout ÇA pour ÇA ...
Lilwayne pour le futur
Mais en place de supposé long discours dont TOTO A DIT n'est aucunement l'auteur , à bien y regarder TOTO A DIT avait bien dit qu'il partageait le témoignage de Sylvain ITTE à l'Assemblée Française ..
Si c'est long , c'est à Sylvain de le racourcir
raCCourcir....
TOTO A DIT pour le futur
TOTO A DIT se dit du moment où la constitution est suspendue et du fait que la gestion de Issou fou soit des plus scandaleuses, des mesures devraient être prise en anticipation pour l'empêcher de sortir du territoire en attendant qu'il soit devant un Juge ... C'est la vision de TOTO A DIT ...
VIVE LE CNSP!!!!!!!!!!!!!!
VIVE LE NIGER!!!!!!!!!!!
Et quand TOTO A DIT partage et non FAIT UN LONG DISCOURS , comme allégé , est ce un problème ?:
La Cour constitutionnelle sénégalaise a invalidé jeudi le report de la présidentielle du 25 février au 15 décembre, à l’origine de l’une des plus graves crises traversées par le pays depuis des décennies, a-t-on appris auprès de l’institution.
La Cour a déclaré contraire à la Constitution la loi adoptée le 5 février par l’Assemblée nationale, repoussant l’élection de dix mois et maintenant le président Macky Sall à son poste jusqu’à la prise de fonctions de son successeur, selon un document publié sur les réseaux sociaux et authentifié par une source au sein de l’institution.
A suivre
«Coup d’État constitutionnel»
La Cour constitutionnelle a par ailleurs annulé le décret du président Sall qui, de facto, modifiait le calendrier électoral, trois semaines seulement avant l’échéance. Cet ajournement a provoqué une levée de boucliers de la part de l’opposition et de la société civile qui ont crié au «coup d’État constitutionnel».
Il a suscité des manifestations à la suite desquelles trois personnes ont été tuées et des dizaines arrêtées. Des partenaires importants du Sénégal, inquiets du risque de violence, ont appelé le gouvernement à tenir l’élection le plus rapidement possible.
TOUT ÇA POUR ÇA : quand Maquis Sale sort par l'égout de l'histoire..... Quelle sortie et Honte ! conclut TOTO A DIT
Dans ce sens nous devons faire preuve de confiance.
@TOTO A DIT...LE PROPHETE DEMALHEUR
aujourdhui les suppo de la junte ont eu honte
MR TOTO ton ennemis juré issoufou est en voyage
que fais tu ...arrete de respirer
toute cette haine que vous deployer contre issifou juste parce que il a neutralisé hama amadou...c 'est ca la politique
c est la preuve que votre hama n'est pas assez mur en politique... il a eté noyé par issouf
issouf est le meilleur president de toute l'histoire du niger
les jaloux doivent mourir
VOTRE hama n'est pas assez mur
C'est pour qui VOTRE là même ???
No further question❓...
Pourquoi TOTO A DIT perd même son temps avec un couillon pareil . Autant pour TOTO A DIT évite d'interagir pour une CHOSE pareille dans le futur
Met fin a tes jours comme le premier de pays bas
ISSOUF EST TOUJOURS PLUS QUE N'IMPORTE QUEL POLITICIEN AU NIGERIEN
RIEN NE PEUT CONTRE ISSOUF
IL FAUT ALLER DOUCEMENT
PERSONNE NE VA L'ARRETER
C'EST ISSOUF QUI DIRIGE LA JUNTE
BANDE DES CONS
LE TOGO ET LA GUINÉE EQUA.. AIDE TIANI A CAUSE DE ISSOUF....FAURE N'A RIEN AVOIR TIANI...TOUT CE QU'IL C'EST A CAUSE DE ISSOUFOU
Si tu es en manque de paille sèche , attends bonnement que les moutons que l'on finisse de nourrir les moutons et chèvres de TOURAKOU ... sans exception même si tu es Waly.
Peut être tu as fait de la politique ton fond de commerce , seul domaine tu penses exceller en volant les ressources du pays ...
Quel piètre quidam ce Waly
vous l'incarnation de la haine ethnique
Quelle blague et crétinisme du siècle ?
Même étonné est étonnement étonné
Mais TOTO A DIT passe tranquillement son chemin face à ces inepties moutonieres
issoufou est bien a adedis abeba
il partira ou il veut
les criminels de la junte vous ont utilisé
bande des naifs
Laissons à la Justice, La Vraie Justice de faire son travail et s’occuper de tous les indélicats qui ont des comptes à rendre et fait tant de mal à notre PEUPLE !
CONCENTRONS NOUS SUR L’ESSENTIEL LA RESTAURANT DE LA SECURITE, LA SOUVERAINETE ET LA DIGNITE DE NOTRE GRAND PEUPLE !
Dale !
de TOTO A DIT comme bon nombre d'Africains aux Autorités
du CNSP ..... Et qu'un bon samaritain leur transmet cette question ❓❓❓ sous forme de message :
Partant du constat que l'Union Africaine a suspendu le Niger de cette entité , et pour ce dit motif a refusé ou empêché le Premier Ministre Lamine Zeine de prendre part à une réunion de L'Union Africaine sur la Libye , tenue au Congo , bien que sur invitation du Président Dennis Nguesso,
La question ❓❓❓ qui taraude TOTO A DIT et beaucoup d'Africains
A quel titre donc est il concevable de comprendre sur invitation de Moussa Faki Mahamat adressée à CHARLIE ISSOU FOU, de participer à la 37ème Session ordinaire du Sommet de l’Union Africaine ?
Quand le Niger est officiellement suspendu .
A quel titre et au nom de qui Charlie Issoufou se présente là bas pour parler ????
A suivre..
Certainement pas au nom du Niger ou des Nigeroi...
Au titre et nom de qui donc participe Issou fou , demeure le questionnement de tout Africain lucide ou observateur dépassionné....
Le CNSP doit des explications aux Nigeroi et Africains .. et les Africains sont en droit d'avoir une réponse sur cette invitation qui laisse beaucoup perplexe
Quelle légèreté décisionnelle et d'appréciation que de même penser à faire sortir un Charlie Issou fou dont le Mis- magistère a été égrené
de divers scandalegates, de crimes économiques et miniers , de perte de souveraineté , ......
Naïf
Vous pensez que Tiani va vous donner le pouvoir
C’est un petit de issouf
Mr Tiani
Allez y mourir
vas te foutre
issouf etait l'invité de marque de sommet de l'union africaine
il est le champion de la zelca
meme si cela ne plait pas a toto a dit
tiany vous a noyé
c est un petit de issouf mr tiany
le togo et la guinée equato..qui aide tiany le font a cause de issouf
mr faure yadema ne connait pas tiany ...faure est l'ami de issouf
Comment peut on expliquer que de 2020 à 2022, le Mali , la Guinée , le Soudan et le Burkina , pour raison de coup d'État ont manqué à l'appel de la Rencontre à Addis Ababa... Suspendus ...auxquels s'ajoutent le Niger et le Gabon également en 2023 pour le même , suspendus de cette institution , et que l'on vienne dire que Charlie Issou fou soit un Invité quelconque de Moussa Faki Mahamat or le pays où il est censé représenté est considéré comme nom invité ... Cette information ou intox ne tient pas la route
TOTO A DIT se révèle sceptique sur Zinfo, et persiste à croire que cette dite sortie de Charlie Hebdo Issou fou est non fondée , nulle et non advenue ...
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Si le Niger est suspendu issouf n’est pas suspendu
C’est un ancien chef d’état son expérience est utile pour l’Afrique au delà du Niger
La zone de libre échange, c’est issouf le catalyseur, l’Afrique entière le reconnaît sauf toi et tes semblables
Ensuite, son expérience pour le problème libyen et la résolution du problème burkinabé et nigérien aussi etc
Prenez votre jalousie en patience
Vous ne pouvez rien faire contre la volonté de Dieu
Mahamadou Issoufou, invité clivant du sommet de l’UA
La présence de l’ancien président nigérien, ce 17 février, à Addis-Abeba, alors qu’il est accusé par les proches de Mohamed Bazoum d’être derrière le putsch de juillet 2023, n’est pas au goût de tous.
L’appareil a pris son envol depuis le tarmac du pavillon présidentiel de l’aéroport de Niamey tard dans la soirée du 14 février. Accompagné d’une délégation d’officiers et d’agents de sécurité, l’ancien président du Niger, Mahamadou Issoufou, a décollé en direction d’Addis-Abeba.
Invité par le président de la Commission de l’UA, le Tchadien Moussa Faki Mahamat, il participe au 37e sommet de l’Union africaine en sa qualité d’ancien chef d’État et de « champion de l’Union africaine » pour la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf).
Zlecaf et situation au Niger
L’ancien dirigeant nigérien doit prendre part à plusieurs rendez-vous bilatéraux et rencontrera notamment le président sortant de l’UA, le Comorien Azali Assoumani, le 18 février. Au menu : la mise en œuvre de la Zlecaf, dont Assoumani a fait une priorité de son mandat à la tête de l’organisation, mais aussi la situation au Niger
Alors que Mohamed Bazoum est toujours séquestré par ses anciens protecteurs de la garde présidentielle, la présence de l’ancien chef d’État au sommet de l’organisation continentale passe mal dans l’entourage du président déchu, qui tient Mahamadou Issoufou responsable du putsch mené par le général Abdourahamane Tiani.
SOURCE JEUNE AFRIQUE
TOTO A DIT corrobores ou confirmes le billet de l'internaute Bj.
C'est une information émanant de Jeune Afrique sur son virtuel et sa rubrique Diplomatie.....
Et à te lire c'est bien Issoufou qui tient les rênes du pays puisque, d'après toi, c'est le Togo et la Guinée Équatoriale qui l'aide et A.T est un petit de Issoufou.
Relis-toi s'il te plaît !
vous faites pitiés....
la racaille et voyous de niamey ne donne pas le pouvoir
vos cries et hurlement ne vont pas changer les choses
issouf est le meilleur homme politique et le meilleur president de l'histoire du Niger
Tu oses parlé encore !!!
Tu es noyé par Tiani
Obnubilé par la haine
Vous n’avez pas honte de publier le travail de Bazoum et issouf sur les réseaux sociaux et vous les insultez
Hypocrisie
Votre haine ne vous donnera jamais le pouvoir
Lumana c’est 10% des électeurs
Hama ne sera jamais président du Niger
Jamais
N'importe quoi?
Vas te foutre
Issouf est meilleur que ton père et ta mère
Issouf a fait au Niger ce que personne n’a fait en terme d’infrastructures
Votre haine ethnique ne changera pas les choses
Bazoum et Issoufou : cinq questions pour comprendre les raisons de leur brouille
Il y a encore quelques semaines, Mohamed Bazoum et Mahamadou Issoufou affirmaient qu’ils étaient « frères ». Depuis le coup d’État qui a renversé le premier, l’attitude du second soulève bien des questions au Niger.
Leur alliance aurait pu ne jamais exister. S’ils se sont formés en politique dans les années 1980, sous les présidences de Seyni Kountché puis d’Ali Saïbou, ils évoluent dans deux mondes différents : Mahamadou Issoufou, originaire d’Arlit, est un ingénieur converti au socialisme ; Mohamed Bazoum, adepte des thèses communistes révolutionnaires, enseigne au lycée de Maradi.
Si Mohamed Bazoum est parvenu à se faire élire à la présidence du Niger, c’est en grande partie grâce à Mahamadou Issoufou. La candidature de l’ancien syndicaliste n’allait en effet pas de soi. Jugée trop peu rassembleuse – Bazoum étant issu d’une minorité arabe –, elle a été contestée au sein du PNDS, notamment par Hassoumi Massaoudou, qui espérait se porter candidat. Mais Issoufou l’a imposée.
Les dissensions entre Bazoum et Issoufou – que les intéressés s’appliquaient à nier devant leurs interlocuteurs – n’étaient plus un secret à Niamey. Pourtant, après le coup d’État du 26 juillet, le silence de Mahamadou Issoufou n’en a pas moins surpris ses alliés comme ses détracteurs.
Sani Mahamadou Issoufou, fils de l’ex-chef d’État et dernier ministre du Pétrole de Mohamed Bazoum, est, depuis le 26 juillet, au centre de toutes les spéculations. Il s’est en effet retrouvé au cœur d’intrigues qui pourraient en partie expliquer le putsch.
Depuis un peu plus de deux mois et sa première prise de parole dans Jeune Afrique, Mahamadou Issoufou et ses proches sont sur la même longueur d’onde : ils nient que des dissensions les opposaient à l’ancien président et à son fils.
Qui se « cache » derrière l’attelage de la NOC ? Un nom retient l’attention, celui du Burkinabè Moussa Koanda, directeur non-exécutif d’Amko. « Koanda est l’une des connexions privilégiées d’Issoufou avec le monde des affaires », résume un homme d’affaires nigérien. Koanda a pris la place dans l’entourage du président d’un autre opérateur économique, le milliardaire nigérian Alhaji Dahirou Mangal, qui a lui aussi fait fortune durant des années dans le négoce des produits pétroliers nigériens, faisant fructifier la bienveillante amitié du chef de l’État.
Mais Mohamed Bazoum a-t-il réellement, en ce début de premier mandat, la main sur le pétrole ? Le chef de l’État a en réalité une épine dans le pied : la Sonidep. Selon plusieurs sources, celle-ci cumule alors environ 200 millions de dollars de dettes. Les rentrées d’argent – notamment tirées de la vente des produits de la Société de raffinage de Zinder (Soraz), qui s’effectuent en partie via des intermédiaires – n’y sont pas assurées : les auditeurs extérieurs estiment alors les pertes dues à la fraude entre 50 et 70 millions de dollars par an pour l’État, soit 5 % des recettes fiscales nigériennes.
« Bazoum avait l’idée de lutter contre la fraude, et pas vraiment de se lancer dans une bataille contre Issoufou », précise notre visiteur du soir. Quand bien même : depuis son accession au pouvoir en 2011, le prédécesseur de Mohamed Bazoum y a placé ses hommes. Sous la direction d’Alio Touné, les ressortissants de la région de Tahoua, dont est originaire l’ancien président, ont la part belle. Selon une source ayant eu accès aux comptes de la société, plus de 200 militants de la section régionale du parti au pouvoir y sont même embauchés de manière fictive. « Issoufou avait verrouillé la Sonidep », résume notre conseiller, qui parle de « caisse noire du PNDS [Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme] version Issoufou ».
À la présidence, Mohamed Bazoum est circonspect. Lui-même défend un PétroNiger où l’État ne serait actionnaire qu’à hauteur de 15 %, pour environ 49 % à la CNPC. Une nouvelle fois, le chef de l’État et le fils de son prédécesseur s’opposent. La relation se tend encore, Abba n’apparaissant plus qu’occasionnellement lors des visites d’État, où il était auparavant incontournable. Puis, en juin 2023, Mohamed Bazoum se décide à trancher. Il impose sa répartition. Les statuts de PétroNiger, que Jeune Afrique a pu consulter, sont couchés sur le papier et portés pour signature à Sani Issoufou et à son homologue des Finances, Ahmat Jidoud.
Tiani était le dernier à pouvoir passer à l’acte
Selon les informations de Jeune Afrique, l’organisation sous-régionale lèvera « prochainement » les sanctions économiques décidées après le putsch mené le 26 juillet 2023 par le général Abdourahamane Tiani contre le président élu Mohamed Bazoum.
Des sanctions perçues comme un échec
À la suite de l’annonce du retrait des pays de l’AES, les présidents de l’organisation se sont penchés sur la question des sanctions à l’occasion de différents entretiens bilatéraux. Ils ont également chargé leurs ministres des Affaires étrangères d’étudier cette question, notamment lors de la session extraordinaire de la Cedeao, qui s’est tenue le 8 février à Abuja.
Vas te foutre
Issouf est meilleur que ton père et ta mère
Issouf a fait au Niger ce que personne n’a fait en terme d’infrastructures
Votre haine ethnique ne changera pas les choses
vous etes une clic d'imbecile
vois raconter n'importe quoi
vous bibronner et endoctriner sur les theses ethniques et raciale
bande de racaille
vous penser que tiani va vous donner le pourvoir
jamais de la vie