Présidentielle 2026 au Bénin : Kémi Séba se lance dans la course pour un "Bénin libre"
Kémi Séba, militant panafricaniste et président de l’ONG Urgences Panafricanistes, ainsi que conseiller spécial du président du CNSP Abdourahamane Tiani, a officiellement déclaré ce dimanche 05 Janvier 2024 sa candidature à l’élection présidentielle béninoise de 2026. Alors que le président Patrice Talon, au pouvoir depuis 2016 et réélu en 2021, approche la fin de son second et dernier mandat, cette annonce s’inscrit dans un contexte socio-économique tendu et une montée des attentes populaires pour un changement. Dans une allocution vidéo percutante diffusée sur ses réseaux sociaux, Kémi Séba a dressé un tableau préoccupant de la situation du pays, critiqué vigoureusement la gouvernance actuelle, et dévoilé trois stratégies audacieuses pour contourner les obstacles institutionnels et concrétiser sa vision politique.
Un contexte socio-économique alarmant
Kémi Séba, de son vrai nom Stellio Gilles Robert Capo-Chichi, a ouvert son discours par une critique virulente de la situation socio-économique au Bénin. Selon lui, le pays est plongé dans une crise "sans précédent", marquée par une inflation galopante qui frappe durement les produits de première nécessité, le gaz et l’essence.
« Les conditions de vie des Béninois sont devenues insoutenables. Pendant que les élites prospèrent, la majorité de notre peuple affronte des difficultés inimaginables », a-t-il déclaré. Il a particulièrement mis en lumière la détresse des agriculteurs et des enseignants, qu’il qualifie de "piliers essentiels" de la société béninoise.
L’activiste a également dénoncé une "domination néocoloniale" incarnée, selon lui, par la prédominance des entreprises françaises dans l’économie nationale. « Les entreprises béninoises sont surtaxées, alors que les multinationales occidentales, notamment françaises, bénéficient de privilèges fiscaux qui étouffent notre souveraineté économique », a-t-il martelé.
Une gouvernance sous le feu des critiques
Pour Kémi Séba, la gouvernance actuelle, dirigée par le président Patrice Talon, est directement responsable de l’aggravation des inégalités sociales et économiques. Il accuse les politiques en place de favoriser une minorité aisée, au détriment de la majorité.
« Le Bénin connaît une crise qui favorise les plus riches, tandis que la majorité du peuple vit dans des conditions intolérables », a-t-il affirmé avec véhémence. Il pointe également du doigt l'impact de la hausse des prix sur les ménages et l’absence de politiques efficaces pour soutenir les secteurs clés comme l’agriculture et l’éducation.
Trois options pour la candidature
Conscient des obstacles posés par le code électoral béninois, qui exige le parrainage d’au moins 20 % des élus municipaux et parlementaires, Kémi Séba a présenté trois stratégies. Pour surmonter ces défis institutionnels, Kémi Séba propose une approche en trois étapes, chacune visant à contourner les obstacles tout en mobilisant les forces politiques et sociales.
L’activiste espère être investi par le parti de l’ancien président Boni Yayi, Les Démocrates. Selon lui, ce parti est le seul de l’opposition disposant d’un nombre suffisant de parrainages pour présenter un candidat à l’élection présidentielle. « Nous tendons la main à nos frères de Les Démocrates pour qu’ils fassent preuve de responsabilité historique. Leur soutien serait une étape décisive pour offrir une alternative crédible au peuple béninois », a-t-il affirmé.
En cas d’échec de la première option, Kémi Séba propose de bâtir une large coalition nationale et internationale afin de plaider pour une révision du code électoral. « Cette réforme est essentielle pour rétablir l’équité et permettre à tous les citoyens de participer librement à la vie politique », a-t-il souligné.
Si ces démarches institutionnelles échouent, l'activiste envisage une approche plus directe et populaire. La troisième option repose sur une mobilisation populaire ambitieuse, baptisée Opération Jéricho. Cette stratégie, qualifiée par Kémi Séba de "triangulation des forces", s’appuie sur trois axes principaux : la mobilisation citoyenne, la contestation pacifique, et la prise de responsabilités des leaders sociaux et politiques pour "renverser le système".
« Si nous devons marcher, protester et nous organiser pour faire entendre la voix du peuple, nous le ferons. Le Bénin libre ou la mort, nous vaincrons ! », a-t-il conclu. Cette troisième option illustre sa détermination à traduire ses idées en actions concrètes sur le terrain.
Un système électoral controversé
Kémi Séba a également mis en lumière les contraintes imposées par le code électoral béninois, qu’il considère comme un outil pour limiter l’accès des opposants au processus démocratique. Adoptée en 2018, la loi électorale impose désormais aux candidats à la présidentielle d’être affiliés à un parti politique et d’obtenir le parrainage d’au moins 20 % des élus locaux et parlementaires.
« Ce code électoral a été conçu pour exclure les véritables opposants au système en place. C’est une entrave à la démocratie et à la volonté populaire », a-t-il dénoncé.
L’élection présidentielle de 2026 marquera la fin du second mandat constitutionnel du président Patrice Talon, qui a affirmé à plusieurs reprises ne pas vouloir modifier la Constitution pour se représenter. Alors que le dépôt des candidatures est prévu pour octobre 2025, l’annonce de Kémi Séba fait de lui l’une des premières figures publiques à se positionner officiellement pour cette échéance cruciale.
Avec son slogan "Le Bénin libre ou la mort, nous vaincrons", Kémi Séba entend mobiliser les masses pour défier ce qu’il perçoit comme un système verrouillé. Sa déclaration ouvre ainsi un nouveau chapitre dans la préparation de cette élection, où les enjeux économiques, sociaux et politiques seront au cœur des débats.
Alors que le Bénin s’apprête à organiser en 2026 des élections municipales, législatives et présidentielle, cette déclaration suscite de nombreuses réactions dans la sphère politique et auprès de la société civile. Si la candidature de Kémi Séba se concrétise, elle promet d’introduire un vent de contestation dans le paysage électoral béninois. La question reste désormais de savoir si ses stratégies, en particulier l’ "Opération Jéricho", réussiront à galvaniser suffisamment de soutien populaire et institutionnel pour porter sa vision panafricaniste à la tête de l’État béninois. Ibrahim Issa (actuniger.com)
Commentaires
😉
Cet USURPATEUR D'IDENTITÉ, couillon bâté de canaillon nigaud , rejeton d'une prostituée niaise , incapable de montrer à son âne de fils ( fille) son père, N'EST POSITIVEMENT PAS TOTO A DIT...
Si même dans le sceau de l'anonymat , un BÂTARD DE BATRACIEN est incapable de s'assumer et ne trouve rien d'autre que de se passer pour qui ,il n'est pas , quoi d'autre espèrer dans la réalité ... : UNE fois crapule toujours crapule crapaud...
Et TOTO A DIT s'excuse de la confusion que l'acte lâche que ce cochon de voleur d'identité ait pu créé
NÉ À STRASBOURG, en FRANCE, de Parents Français, avait bien à clarifier .....que sa lutte n'est aucunement :
Ce n’est pas un combat de Noirs contre Blancs, c’est un combat des Justes contre ceux qui sucent le sang des Justes...
Quand TOTO A DIT partage....
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Le Gouvernement de la République du Tchad exprime sa vive préoccupation suite aux propos tenus récemment par le Président de la République française, Emmanuel Macron, qui reflètent une attitude méprisante à l'égard de l'Afrique et des Africains.
Le Tchad tient à rappeler qu'il n'a aucun problème avec la France en tant que nation ni avec le peuple français,
A suivre
avec lequel il partage une histoire marquée par des relations humaines et culturelles. Cependant, les dirigeants français doivent apprendre à respecter le peuple africain et reconnaître la valeur de ses sacrifices.
L'HISTOIRE ATTESTE QUE L'AFRIQUE, y compris le Tchad, A JOUÉ UN RÔLE DÉTERMINANT DANS LA LIBÉRATION
DE LA FRANCE lors des deux guerres mondiales, un fait que la France n'a jamais véritablement reconnu.
Les sacrifices immenses consentis par les soldats africains pour défendre la liberté ont été minimisés, et aucun remerciement digne de ce nom n'a été exprimé.
En ce qui concerne le Tchad, il convient de souligner que la construction de notre Armée n'est pas l'œuvre de la France.
Notre Armée, forte et résiliente, est le fruit de la bravoure du peuple tchadien et des sacrifices consentis avec des moyens modestes. La France n'a jamais doté l'armée tchadienne de manière significative
ni contribué à son développement structurel. En 60 ans de présence, marqués par des guerres civiles, des rébellions et une instabilité politique prolongée, la contribution française a souvent été limitée à des intérêts stratégiques propres, sans véritable impact durable pour le développement du Peuple Tchadien.
Au lieu de s'en prendre à l'Afrique, le Président Macron devrait concentrer ses efforts sur la résolution des problèmes qui préoccupent le Peuple Français.
peuple tchadien aspire à une souveraineté pleine et entière, à une véritable indépendance, et à la construction d'un État fort et autonome, acquis au prix de sacrifices inestimables. Nous invitons nos partenaires, y compris la France, à intégrer cette aspiration légitime dans leur approche des relations avec l'Afrique.
TOTO A DIT et s'est à ce même combat contre l'impérialisme et l'Afriquefrance que KEMI s'est adonné depuis son jeune âge
"Ce n’est pas un combat de Noirs contre Blancs, c’est un combat des Justes contre ceux qui sucent le sang des Justes".
C’est avec cette formule empreinte de toute une symbolique que Kémi Seba, activiste panafricaniste et militant anti-impérialiste et anticolonialiste, a qualifié son engagement pour la souveraineté de l’ensemble de l’Afrique face aux velléités néocoloniales, notamment portées par la France.
il évoque de nombreux sujets de l'actualité africaine, mais aussi mondiale.
Le Béninois de 42 ans, né à Strasbourg, et qui a été déchu de la nationalité française en juillet 2024, se présente comme un "homme noir au 21ème siècle, Panafricaniste, un homme qui est maladivement attaché
A suivre
à la souveraineté de son peuple, du continent africain et de la diaspora".
Kémi Seba, de son vrai nom "Stellio Gilles Robert Capo Chichi", précise que "par extension", il est très attaché aussi "au droit à l’autodétermination de tous les peuples du monde entier, et plus particulièrement des peuples du sud global ».
"Ce qui fait qu’un opprimé, qui se trouve à n’importe quel endroit du globe, aura toujours ma solidarité, c’est pour moi une priorité", assure-t-il.
La déchéance de la nationalité française
Souvent associée à la "provocation" quand il a brûlé son passeport français devant des caméras en mars de cette année, la décision des autorités françaises de lui retirer la nationalité française n’est pas liée à cet acte, défend-il.
"Ce sont les actions contre le néocolonialisme que nous menons de très nombreuses années sur le terrain, avant même l’émergence autorités françaises
CE SONT LES ACTIONS CONTRE LE NÉOCOLONIALISME QUE NOUS MENONS DE TRÈS NOMBREUSES ANNÉES
AVANT MÊME L’ÉMERGENCE DES RÉSEAUX SOCIAUX,
qui a entrainé que, les autorités françaises qui ont pour axe idéologique et géostratégique sur le continent africain, le néocolonialisme, ont été dans une démarche de réagir avec virulence, avec hystérie", assure-t-il.
"En perdant le contrôle, à mon sens, et en commettant une erreur stratégique grossière, car ce n’est pas parce que vous combattez la mauvaise direction prise par le président qui dirige le pays où vous êtes né, qu’on doit renier votre lieu de naissance et votre nationalité".
Kemi Seba veut rétablir la vérité. C’est son engagement inébranlable en faveur des peuples opprimés et des territoires colonisés qui sont derrière la décision française.
"J’ai trouvé opportun, en réalité, à cette croisé des chemins, dans cette période historique, à cette période où en France l’homme noir est discriminé, depuis déjà trop longtemps en réalité, mais plus que jamais aujourd’hui, à cette période où l’homme noir dans les territoires, appelés de manière coloniale, territoires d’outre-mer, Guadeloupe, Martinique, j’ai une grosse pensée pour mes frères et sœurs qui sont mobilisés actuellement, Guyane, La Réunion, la Kanaky (Nouvelle-Calédonie), qui est plus que jamais aujourd’hui asphyxiée et colonisée, à une période où mes semblables sont asphyxiés en Afrique de l’ouest,
en Afrique francophone de manière générale, il ne faut pas oublier l’Afrique centrale, à une période où les Noirs sont victimes de bavures, même si je n’aime pas le terme de victime, parce que c’est trop restrictif, sont incarcérés dans une problématique réelle de discrimination
au logement, ou de bavures policières, dans une période où tout est fait pour briser et humilier l’homme et la femme noirs, j’ai pensé qu’il était important de rappeler que nous ne sommes pas tous prêts à nous soumettre aux ordres et aux désirs de l’oligarchie française pour exister", lance-t-il.
Et de scander haut et fort : "Je n’ai pas besoin de leur aval pour exister !".
Néanmoins, une fois informé de la procédure de déchéance lancée, il n’a pas voulu "rester tranquille pour préserver les chances de garder la nationalité française".
"Je n’étais pas dans une démarche de montrer patte blanche, parce que je suis né avec des pattes noires. Et j’ai pris conscience de la nécessité de rappeler à nos semblables qu’on peut se tenir debout face à la puissance néocoloniale, et exister plus que jamais, malgré tous les coups que l’on peut recevoir, on peut aussi lui en donner", explique-t-il.
Selon Seba, le processus de retrait de nationalité a été enclenché quelques temps "après les mobilisations historiques dans la sous-région (Sahel), et au Niger, aux côtés de la société civile, pour défendre ce que j’appelle la "restauration de l’État".
Mettant de côté son propre combat, Kémi Seba tient absolument à rendre hommage à une personne en particulier.
"Il y a un homme à qui j’ai envie de profondément rendre hommage, parce qu’il prend des coups, en défendant et en accompagnant le combat de souveraineté que nous menons. C’est homme c’est JUAN BRANCO, mon Avocat,
Docteur en Droit qui mène un combat contre l’impérialisme aux quatre coins du monde. Il a défendu Julian Assange, il a défendu des frères et des sœurs opprimés, qui sont mes partenaires, en Guyane, il a défendu les nôtres en Haïti, au Sénégal, C’est quelqu’un qui a été pris en grippe par le gouvernement français
comme il me considère comme une menace, il le considère aussi comme une menace, et au lieu de l’attaquer sur le principe des idées, mais quand on voit le visage des autorités françaises on comprend que ce n’est pas sur le terrain du débat idéologique qu’il peut y avoir une issue, d’une manière extrêmement lâche et vicieuse pour le sanctionner de sa démarche de solidarité vis-à-vis du combat des populations du sud global, ils ont décidé d’entamer une procédure de révocation auprès du Barreau de Paris.
Ils sont dans une dynamique de l’empêcher de plaider en France".
Et de souligner avec conviction : "Cette démarche-là montre que ce n’est pas un combat de Noirs contre Blancs, c’est un combat des Justes contre ceux qui sucent le sang des Justes. C’est un combat d’une oligarchie néolibérale putride contre des peuples, quelles que soient leurs couleurs, qui veulent décider de leur propre destinée,
qui perdra son temps pour lire tes betises
non mais franchement....
Est ce la faute de TOTO A DIT ou Actuniger , si ta génitrice s'est révélée incapable de te montrer ton père afin qu'il essaie de te donner un nom de baptême et arrêter de voler l'identité des autres...
Les développements au Sahel et la "restauration de l’État"
L’engagement de Kémi Seba au Sahel est complet. Il est entièrement solidaire des mouvements hostiles à la présence française et favorables à "l’indépendance et la souveraineté africaines".
"L’Occident parle de coup d’État (au Niger), non c’était une opération de restauration de l’État", défend-il.
"Si vous avez un conducteur de bus, en l’occurrence l’ancien président Mohammed Bazoum, qui était engagé pour conduire les passagers, le peuple nigérien, à bon port, à la destination B, et qu’au lieu d’emmener les passagers à la destination B, il les emmène dans une direction complètement éloignée, qui est la direction
qui est la direction F, comme la France néocoloniale, il est du devoir des passagers qui ne sont pas d’accord avec cette direction, d’immobiliser ce conducteur de bus un petit peu ivre, le mettre sur le côté, et que quelqu’un reconduise l
Ce quelqu’un c’est le Général Tiani, Chef de l’État, Chef du CNSP. Il est en train d’emmener le peuple du Niger à bonne destination", explique-t-il de manière imagée.
"Le peuple, une grande partie du peuple, comprend le combat que nous menons", estime-t-il ensuite.
Et de poursuivre : "Il y a évidemment aussi comme au temps de l’esclavage ou de la colonisation, des gens, comme dans certains pays néocolonisés comme en Côte d’Ivoire où certains services de communication, de dirigeants, qui sont des marionnettes de la Françafrique,
comme ceux qui sont à la tête, malheureusement, de mon pays le Bénin, ou de la Côte d’Ivoire, il y a des gens qui ont tout intérêt à préserver les intérêts des néocolonialistes."
"Mais c’est un processus. Je pense que ce combat-là, est en train d’emmener progressivement une autre mentalité, au sein des nouvelles générations africaines, qui comprennent qu’il n’est pas normal
que dans les quatre coins de l’humanité ils puissent jouir de nos ressources, et que les seuls qui ne puissent pas jouir de leurs propres ressources, ce soit nos populations.
C’est pour ça que je dis que l’ennemi ce n’est pas les autres, l’ennemi c’est nous-même. Une civilisation n’est détruite de l’extérieure que si elle est rongée de l’intérieur. Il faut qu’on soit capable de faire un travail interne de réappropriation de nos ressources, de nettoyage aussi des mauvaises herbes chez nous
.
Parce qu’il y a des gens chez nous qui sont tellement complexés qu’ils seraient prêts à tout pour livrer leurs terres à l’extérieur. Or, chaque peuple vit sur une parcelle de cette Terre, et il n’est pas normal que ce qui doit être la portion d’un peuple, puisse servir à d’autres à l’exception de lui-même."
Et de s’écrier : "Plus que jamais, l’Afrique doit revenir aux Africains. Et, par extension,
les territoires colonisés où nos peuples sont installés, Kanaky, Guyane, Guadeloupe, Madinina (Martinique), La Réunion etc. doivent revenir aux peuples qui, pendant des siècles, ont travaillé, sous le joug de l’esclavage, ces terres pour les rendre rentables pour l’oligarchie néocoloniale française."
"Ces mobilisations, à mon sens, ont fait le lit des opérations de restauration de l’État, réalisées notamment par le Colonel Assimi Goïta, chef de l’État du Mali, le Capitaine Ibrahim Traoré, chef de l’État du Burkina Faso, et enfin le Général Tiani, chef de l’État du Niger, que je considère comme une sorte de père institutionnel sur le terrain politique, un homme de grande vision".
Son avenir politique au Bénin
Après avoir, en détails, relaté son cheminement intellectuel et politique, Kémi Seba qui affirme désormais tenir un "discours qui traverse toutes les frontières", ne cache pas ses ambitions
pour l’avenir de son pays, le Bénin.
"Ce qui n’empêche pas qu’il arrivera un moment où, très prochainement, je l’espère, dans le cadre du Bénin, sur le terrain institutionnel, nous pourrons passer aussi à une autre étape."
Pour autant, l’activiste garde le flou sur une éventuelle candidature personnelle, mais est clair sur son engagement en faveur du changement politique dans son pays.