Sénégal : Malick Ndiaye, 41 ans, élu président de l’Assemblée nationale
Le Sénégal a entamé une nouvelle page de son histoire politique ce lundi 2 décembre 2024 avec l’élection de Malick Ndiaye, 41 ans, comme président de l’Assemblée nationale, consolidant ainsi l’emprise totale du parti Pastef sur l’appareil de l’État. Issu des rangs du parti des Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef-Les patriotes), majoritaire au parlement, M. Ndiaye a obtenu une écrasante majorité, s'imposant comme une figure centrale de la 15e législature. Cette élection consacre non seulement le parcours de Malick Ndiaye, mais aussi la montée en puissance du Pastef, désormais en contrôle de la présidence de la République, de la primature et de l’hémicycle. Avec un score impressionnant de 1 991 770 voix au scrutin national, offrant 29 sièges à la proportionnelle et 101 au scrutin majoritaire pour un total de 130 sièges, Pastef dispose d’une majorité confortable pour diriger l’Assemblée nationale et porter ses réformes.
Pour accéder à cette fonction prestigieuse, Malick Ndiaye a dû renoncer à son portefeuille ministériel en charge des Infrastructures terrestres et des Transports terrestres et aériens. Sa lettre de démission, lue à l’ouverture de la séance par le doyen d’âge, Alla Kane, a dissipé les interrogations sur la compatibilité de ses fonctions exécutives avec son rôle de député. Cette clarification a permis la poursuite sereine du processus électoral malgré une interpellation soulevée par Guy Marius Sagna, également membre de Pastef, sur la légalité de la procédure.
Diplômé en management, commerce international, transport et logistique, Malick Ndiaye a gravi les échelons de la sphère politique sénégalaise avec une vision marquée par la rigueur et l’innovation. Avant son élection à la tête du parlement, il occupait le poste stratégique de porte-parole du parti Pastef, où il s'est distingué par sa capacité à défendre avec éloquence les orientations du pouvoir tout en incarnant un leadership rassembleur.
En tant que président de l’Assemblée nationale, Malick Ndiaye devient la deuxième personnalité de l’État, assumant une responsabilité clé dans la dynamique institutionnelle du pays. Ce poste stratégique le place au cœur des débats nationaux et des processus législatifs, avec pour mission de renforcer le rôle du parlement en tant que pilier de la démocratie sénégalaise.
L’élection de M. Ndiaye intervient dans un contexte de forte attente, tant au sein de l’Assemblée nationale que parmi les citoyens sénégalais. Son parcours et ses compétences multidimensionnelles en font un atout pour répondre aux défis complexes du pays, notamment dans les domaines économiques, sociaux et institutionnels. Sa capacité à renforcer la cohésion au sein de l’hémicycle et à insuffler une gouvernance exemplaire sera scrutée de près.
Avec cette élection, le Sénégal semble s'engager sur une trajectoire où la jeunesse et la compétence deviennent des critères essentiels pour diriger les institutions de la République. Le mandat de Malick Ndiaye à la tête de l’Assemblée nationale marquera sans doute un tournant important dans la vie politique du pays.
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Le navire Samos a pris départ de la plateforme pétrolière de Sèmè au petit matin de ce lundi 02 décembre 2024.
Le navire-citerne Samos a achevé le chargement de brut nigérien sur la plateforme pétrolière de Sèmè. Naviguant sous pavillon maltais, le tanker a pris le large ce lundi 2 décembre 2024, à 4 heures du matin, en direction de la Malaisie.
Il faut noter qu’il s’agit du septième navire à venir récupérer des hydrocarbures depuis la reprise des activités de chargement sur la plateforme de SÈMÈ.
Ces jours-ci, nous assistons à une intensification de la guerre informationnelle de la France contre notre pays. Comme des textes signés de Français "pure souche" auraient peu de crédibilité, les agents provocateurs de la DGSE les écrivent mais les font signer de noms nigériens et même de Nigériens "réels" connus de tous. C'est maintenant la nouvelle mission assignée aux apatrides réfugiés en France et qui prêtent leurs noms aux trolls français de la DGSE. Ces trolls français travaillent jour et nuit dans l'espoir de retourner l'opinion publique nigérienne contre le CNSP et notre révolution en inventant des histoires cousues de fil blanc auxquels on donne un semblant de crédibilité en mélangeant le vrai et le faux, en travestissant le vrai ou en procédant par ce qu'on appelle un mensonge par omission, c'est-à-dire un mensonge qui a toutes les allures d'une vérité tant qu'on n'a pas donné l'information complète.
Nous devons rester vigilants et refuser de prêter le flanc aux manœuvres orchestrées par les ennemis de notre peuple, ceux qui nous oppriment et nous exploitent depuis 6 siècles.
Ce NE SONT PAS DES NIGÉRIENS QUI ÉCRIVENT CES TEXTES. CES TORCHONS FONT PARTIE D'UN PLAN DE DÉSTABILISATION MUREMENT RÉFLÉCHI ET FROIDEMENT EXÉCUTÉ POUR DISCRÉDITER LES AUTORITÉS NIGÉRIENNES, SEMER LA DISCORDE EN NOTRE SEIN ET SAPER LES BASES DE NOTRE RÉVOLUTION.