Déchéance provisoire de la nationalité : Rhissa Ag Boula et huit autres proches du Président déchu Mohamed Bazoum sanctionnés pour atteinte à la sécurité nationale
Les personnes visées par cette sanction sont soupçonnées d'avoir commis ou favorisé des actes de nature à troubler gravement la tranquillité publique et à mettre en péril les intérêts stratégiques du Niger. Parmi ces infractions figurent la collaboration avec des puissances étrangères, l'intelligence en vue d'actes hostiles contre l'État, la trahison et la démoralisation de l'armée nationale. Le décret signé par le Chef de l'État s’appuie sur l’ordonnance n° 2024-43 du 27 août 2024, modifiée par l’ordonnance n° 2024-46 du 7 octobre 2024, qui instaure un fichier des personnes impliquées dans des actes de terrorisme ou d'autres infractions portant atteinte à la sécurité nationale.
Les neuf personnes concernées par la déchéance provisoire de la nationalité nigérienne, toutes proches du Président déchu Mohamed Bazoum, sont hors du territoire nigérien. Parmi elles, Rhissa Ag Boula, ex-figure des rébellions touarègues, né le 1er janvier 1957 à Iférouane, dans la région d'Arlit, fils de Oyahid Ag Boulla et de Tchiliwatt. Il est suivi de Pagoui Hamidine Abdou, né le 1er janvier 1973 à Ingall (Agadez), fils de Pagoui Hamidine et de Aziza. Amadou N’Gade Hamid, né le 30 juin 1981 à Niamey, fils de Amadou N’Gade et de Hadiza Noma Kaka, fait également partie des personnes sanctionnées.
Parmi les autres individus concernés, figure Abdoul Kader Mohamed, né le 6 avril 1973 à Agadez, fils de Abdoul Kader et de Fati, ainsi que Abou Mahamadou Tarka, né le 7 avril 1950 à Belbédji/Zongo, fils de Abou et de Fatima dite Titi. Daouda Djibo Takoubakoye, né le 27 novembre 1975 à Latakabia, dans la région de Kollo, fils de Daouda et de Aissatou, est également cité.
Karingama Wali Ibrahim, originaire de Zinder, né le 29 août 1963, fils de Karingama Wali et de Rahamou, et Harouna Gazobi Souleymane, né le 10 janvier 1974 à Malbaza, fils de Harouna Gazobi et de Zoulehatou, sont aussi concernés. Enfin, Moussa Moumouni, né le 1er janvier 1985 à Tchibba Tombo, fils de Moussa et de Hamsa, clôt cette liste des personnes provisoirement déchues de leur nationalité nigérienne, toutes proches de l'ancien Chef d'État Mohamed Bazoum, renversé par un coup d'État le 26 juillet 2023.
A.K. Moumouni (actuniger.com)
Commentaires
Le Niger reste le Niger et l'AES poursuit sa dynamique souverainiste au grand dam des ...une fois .... roitelets qui ont pris la fuite ...
Quand TOTO A DIT se demande et vous demande....
Mais avant ,
N'est ce pas la photo de Rhissa Ag Boula, en image d'illustration ???
Est ce sa pose de photo de demandeur de réfugié politique en France ?
Pour un gueulard qui aboyait de réinstaller Mohamed Bazoum au pouvoir, , pour finalement courir en France pour aller quémander l'exil politique..
C'est dire suite à sa demande d’introduction à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra).
Rhissa Ag Boula a officiellement obtenu le statut de réfugié politique en France ..
De conseiller à la Présidence au Niger , le voilà réfugié inconnu au Niger ...
Seul un abruti s’extasie face a la bêtise de cette junte
Les experts en divertissement
Personne ne peut enlever la citoyenneté des ces gens
Le délire de tiani
Les thuriféraires , et autres laudateurs flatteurs des renaissants 1,2 et 3 peuvent continuer à rêver de leur retour au pouvoir , c'est leur droit et de bonne guerre ....
Sauf que l''AES les a laissé dans les égouts et poubelles de l'histoire et continue son bout de chemin du respect mutuel et de la réciprocité des relations axées sur le gagnant gagnant et diversité et embarras du choix , une autre façon de gérer .....
C'est la compréhension de TOTO A DIT, en espérant qu'un Spécialiste du Domaine éclaire le lectorat
C'est la compréhension de TOTO A DIT, en espérant qu'un Spécialiste du Domaine éclaire le lectorat
Ferme la
Pauvre canaille