Depuis le lundi 25 mai, c’est le retour à la normale dans les administrations et services publics. Cette décision prise par le gouvernement lors du dernier conseil des ministres, fait suite à l’évolution favorable de la pandémie de coronavirus. Les agents de l’Etat vont toutefois respecter certaines mesures de lutte contre la propagation du Covid-19.
Le gouvernement a décidé, lors du conseil des ministres du vendredi 22 mai 2020, la levée de plusieurs mesures préventives prises dans le cadre de la lutte contre le Covid-19. C’est ainsi que depuis ce lundi 25 mai, le gouvernement a suspendu les mesures d’interdiction des ateliers et séminaires sur toute l’étendue du territoire national, la réduction du personnel au strict minimum dans les services publics et le réaménagement des horaires de travail dans les administrations et établissements publics. Les horaires de travail ont été ramenés au temps de travail habituel de service c'est-à-dire de 08h00 à 17h30 du lundi au jeudi et de 08h00 à 13h00 le vendredi.
Selon le gouvernement, cette décision fait suite à « la tendance qui se dessine », c'est-à-dire l’évolution « favorable » de la lutte contre la pandémie au Niger. Cependant, afin de consolider cette tendance à travers la réduction de la circulation du virus et l’arrêt de la propagation de la pandémie, des mesures de prévention sont indispensables et seront mises en œuvre dans les différents services. Il s’agit notamment de la désinfection des lieux ou la mise en place des mesures barrières notamment le port des bavettes.
Ne dit on pas que .....quand l'injustice devient loi, la résistance est un devoir......
À quoi sert ce machin de cour internationale d'injustice de la Haye qui depuis sa création n'a jugé que les responsables Africains alors que Tony Blair et Georges W Bush sont libres de leurs mouvements malgré leur crime de million plus de morts sous leur clock.... Que Sarkozy soit libre malgré le bordel qu'il ait créé en Libye.
De quelle justice parle t 'on la même quand ces criminels internationaux sont libres comme l'air alors que Laurent GBAGBO bien que acquitté par ce machin ne soit pas libre de ses mouvements ??? Pourquoi ces poids ....deux mesures se demande TOTO A DIT? Et quand TOTO A DIT partage et aller à la ligne reste un choix.....
Gbagbo autorisé à quitter la Belgique sous conditions La Cour pénale internationale a autorisé jeudi l’ex-président ivoirien à quitter la Belgique si un pays accepte au préalable de le recevoir.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé jeudi autoriser sous conditions l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo à quitter la Belgique, où il était assigné à résidence depuis son acquittement en 2019 d’accusations de crimes contre l’humanité.
Tout pays dans lequel Laurent Gbagbo souhaitera se rendre doit notamment accepter au préalable de le recevoir, a indiqué un porte-parole de la Cour basée à La Haye, qui a toutefois rejeté la demande de liberté sans condition présentée par l’ex-chef d'État ivoirien.
Un éventuel retour de Laurent Gbagbo en Côte d'Ivoire, où le parti qu’il a fondé, le Front populaire ivoirien (FPI), se prépare à la prochaine élection présidentielle prévue en octobre, reste donc incertain.
"Nous sommes contents, c’était important que ces restrictions soient levées», a réagi Franck Anderson Kouassi, le porte-parole du FPI. «On attend maintenant la date de son retour au pays. On va l’accueillir» a-t-il ajouté.
«Braquage» Après plus de sept ans passés en détention à La Haye, Laurent Gbagbo a été reconnu non coupable en janvier 2019 de crimes commis
Suite 1 entre 2010 et 2011 au cours des violences post-électorales en Côte d'Ivoire, qui avaient fait quelque 3000 morts en cinq mois.
Laurent Gbagbo et son coprévenu Charles Blé Goudé, ex-chef des Jeunes patriotes ivoiriens, ont été libérés en février de la même année sous conditions, dont l’obligation de résider dans un État membre de la CPI disposé à les accueillir en attendant le procès en appel.
Laurent Gbagbo, 74 ans, vit depuis à Bruxelles, tandis que Charles Blé Goudé, 48 ans, est resté à La Haye. Début novembre 2019, la justice ivoirienne a condamné en appel Laurent Gbagbo par contumace à 20 ans de prison pour le «braquage» de la Banque centrale des États d’Afrique de l’Ouest pendant la crise post-électorale de 2010-2011.
Assouplissement des conditions Les avocats de Laurent Gbagbo avaient réclamé début février que la CPI lui accorde une liberté sans condition, arguant qu'«il ne peut être imposé de restrictions à la liberté d’une personne acquittée».
Les juges ont rejeté cette demande, notant «que la défense de M. Gbagbo n’avait pas démontré d’erreur manifeste de raisonnement,
ni que des circonstances particulières justifiaient le réexamen de l’arrêt», a précisé jeudi la Cour dans un communiqué. Ils ont cependant décidé de mettre fin à certaines conditions imposées à la mise en liberté de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé, notamment celles de «ne pas se déplacer en dehors des limites de la municipalité dans laquelle ils résident dans l’État d’accueil» et de remettre à la CPI «toutes les pièces d’identité dont ils disposent, en particulier leur passeport».
À disposition de la CPI La condition de se présenter chaque semaine auprès des autorités du pays d’accueil ou auprès de la Cour a elle aussi été révoquée. Les autres conditions, parmi lesquelles comparaître devant la CPI lorsque celle-ci l’ordonnera et informer la Cour et l’État qui les accueille de leur adresse, restent en vigueur.
Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé avaient été accusés de quatre chefs de crime contre l’humanité: meurtres, viols, persécutions et autres actes inhumains, pour lesquels ils ont toujours plaidé non coupable.
Charles Blé Goudé a par ailleurs été condamné en décembre 2019 par contumace à 20 ans de prison par la justice ivoirienne pour des crimes commis dans le cadre de la crise post-électorale de 2010-2011.
Que comprendre de ce machin international d'injustice ....ceux qui sont censés être jugés de crime avéré contre l'humanité en millions de morts et déplacés avec des économies effondrées ne sont pas jugés ni inquiétés alors que ceux là même démontrés innocents et acquittés ne soient pas libres de leurs mouvements d'aller et venir ou bon leur semble , c'est quoi ça la même ce bordel d'injustice???
Pour le cas de Georges Bush Junioir ...TOTO A DIT peut comprendre dans la mesure où Ameriki n'a jamais cru à ce machin de la Haye d'où le refus de signer quoi que ce soit à ce machin jusqu'à oser juger un des leurs et pour les autres ..... L'attitude des USA ne devrait pas inspirer ces bêtes d'Etat Africains qui s'empressent de signer et joindre tout ce que le TOUBAB leur présente.
le Président malgache , Andry Nirina Rajoelina , n'a t il pas dit MERDE à l'OMS et leur faisant BYE BYE?
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À quoi sert ce machin de cour internationale d'injustice de la Haye qui depuis sa création n'a jugé que les responsables Africains alors que Tony Blair et Georges W Bush sont libres de leurs mouvements malgré leur crime de million plus de morts sous leur clock.... Que Sarkozy soit libre malgré le bordel qu'il ait créé en Libye.
De quelle justice parle t 'on la même quand ces criminels internationaux sont libres comme l'air alors que Laurent GBAGBO bien que acquitté par ce machin ne soit pas libre de ses mouvements ???
Pourquoi ces poids ....deux mesures se demande TOTO A DIT?
Et quand TOTO A DIT partage et aller à la ligne reste un choix.....
Gbagbo autorisé à quitter la Belgique sous conditions
La Cour pénale internationale a autorisé jeudi l’ex-président ivoirien à quitter la Belgique si un pays accepte au préalable de le recevoir.
Tout pays dans lequel Laurent Gbagbo souhaitera se rendre doit notamment accepter au préalable de le recevoir, a indiqué un porte-parole de la Cour basée à La Haye, qui a toutefois rejeté la demande de liberté sans condition présentée par l’ex-chef d'État ivoirien.
Un éventuel retour de Laurent Gbagbo en Côte d'Ivoire, où le parti qu’il a fondé, le Front populaire ivoirien (FPI), se prépare à la prochaine élection présidentielle prévue en octobre, reste donc incertain.
"Nous sommes contents, c’était important que ces restrictions soient levées», a réagi Franck Anderson Kouassi, le porte-parole du FPI. «On attend maintenant la date de son retour au pays. On va l’accueillir» a-t-il ajouté.
«Braquage»
Après plus de sept ans passés en détention à La Haye, Laurent Gbagbo a été reconnu non coupable en janvier 2019 de crimes commis
entre 2010 et 2011 au cours des violences post-électorales en Côte d'Ivoire, qui avaient fait quelque 3000 morts en cinq mois.
Laurent Gbagbo et son coprévenu Charles Blé Goudé, ex-chef des Jeunes patriotes ivoiriens, ont été libérés en février de la même année sous conditions, dont l’obligation de résider dans un État membre de la CPI disposé à les accueillir en attendant le procès en appel.
Laurent Gbagbo, 74 ans, vit depuis à Bruxelles, tandis que Charles Blé Goudé, 48 ans, est resté à La Haye. Début novembre 2019, la justice ivoirienne a condamné en appel Laurent Gbagbo par contumace à 20 ans de prison pour le «braquage» de la Banque centrale des États d’Afrique de l’Ouest pendant la crise post-électorale de 2010-2011.
Assouplissement des conditions
Les avocats de Laurent Gbagbo avaient réclamé début février que la CPI lui accorde une liberté sans condition, arguant qu'«il ne peut être imposé de restrictions à la liberté d’une personne acquittée».
Les juges ont rejeté cette demande, notant «que la défense de M. Gbagbo n’avait pas démontré d’erreur manifeste de raisonnement,
ni que des circonstances particulières justifiaient le réexamen de l’arrêt», a précisé jeudi la Cour dans un communiqué.
Ils ont cependant décidé de mettre fin à certaines conditions imposées à la mise en liberté de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé, notamment celles de «ne pas se déplacer en dehors des limites de la municipalité dans laquelle ils résident dans l’État d’accueil» et de remettre à la CPI «toutes les pièces d’identité dont ils disposent, en particulier leur passeport».
À disposition de la CPI
La condition de se présenter chaque semaine auprès des autorités du pays d’accueil ou auprès de la Cour a elle aussi été révoquée. Les autres conditions, parmi lesquelles comparaître devant la CPI lorsque celle-ci l’ordonnera et informer la Cour et l’État qui les accueille de leur adresse, restent en vigueur.
Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé avaient été accusés de quatre chefs de crime contre l’humanité: meurtres, viols, persécutions et autres actes inhumains, pour lesquels ils ont toujours plaidé non coupable.
Charles Blé Goudé a par ailleurs été condamné en décembre 2019 par contumace à 20 ans de prison par la justice ivoirienne pour des crimes commis dans le cadre de la crise post-électorale de 2010-2011.
Que comprendre de ce machin international d'injustice ....ceux qui sont censés être jugés de crime avéré contre l'humanité en millions de morts et déplacés avec des économies effondrées ne sont pas jugés ni inquiétés alors que ceux là même démontrés innocents et acquittés ne soient pas libres de leurs mouvements d'aller et venir ou bon leur semble , c'est quoi ça la même ce bordel d'injustice???
Pour le cas de Georges Bush Junioir ...TOTO A DIT peut comprendre dans la mesure où Ameriki n'a jamais cru à ce machin de la Haye d'où le refus de signer quoi que ce soit à ce machin jusqu'à oser juger un des leurs et pour les autres .....
L'attitude des USA ne devrait pas inspirer ces bêtes d'Etat Africains qui s'empressent de signer et joindre tout ce que le TOUBAB leur présente.
le Président malgache , Andry Nirina Rajoelina , n'a t il pas dit MERDE à l'OMS et leur faisant BYE BYE?