Les Émirats arabes unis ont mis en œuvre des obligations internationales en matière de droits de l'homme, droit humanitaire, égalité et non-discrimination
Les EAU ont présenté un modèle unique dans la lutte contre le terrorisme avec des sanctions légales et des centres de réhabilitation pour les extrémistes
Des représentants et des experts des droits de l'homme lors de l'événement "Emirates for Human Rights leadership", qui portait sur le lancement du rapport parallèle sur la protection des droits de l'homme aux EAU dans le cadre du Mécanisme d'Examen périodique universel qui a été lancé par 13 organisations internationales de défense des droits de l'homme ont salué les efforts des EAU et son interaction avec les mécanismes et institutions internationaux pour développer la protection des droits de l'homme au niveau national et international. Ils ont egalement souligné l'intégration des politiques émiraties en matière de droits de l'homme qui ont contribué au lancement de nombreuses initiatives et assistance au niveau international pour limiter le changement climatique, préserver la dignité humaine, prévenir l'extrémisme et lutter contre le terrorisme, et répandre la tolérance entre les différents propriétaires de religions et religieux croyances.
La Constitution des EAU garantit pleinement tous les droits et libertés fondamentaux stipulés dans les conventions et instruments internationaux relatifs aux droits de l'homme. Les lois et la législation nationales garantissent également la protection et le respect des droits de l'homme, encouragent et assurent leur jouissance par tous de manière juste et égale, sans discrimination, et interdisent toute forme d'atteinte et de violation contraire aux nobles valeurs et principes humains, notamment celles qui portent atteinte à la dignité humaine, au respect et à la vie privée, ou qui exposent les personnes à des abus physiques et psychologiques ou les empêchent d'exercer leurs droits et libertés. Le document intitulé "Cinquante principes", annoncé par le gouvernement à l'occasion du cinquantième anniversaire de la fondation des EAU, affirme l'engagement envers les valeurs et les principes des droits de l'homme, la consolidation de l'état des institutions et du droit, et la préservation de la dignité humaine. Les EAU ont également adhéré aux quatre Conventions de Genève sur le droit humanitaire international et ont fait preuve d'un engagement total à remplir leurs obligations internationales à cet égard.
La Constitution des EAU garantit le respect des droits de l'homme et la lutte contre toutes les formes de discrimination. En outre, les EAU ont adhéré à la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale, et s'emploient à soumettre leurs rapports et à mettre en œuvre leurs obligations liées à cet accord. En outre, les EAU ont publié le décret-loi n° 2 de 2015 sur la lutte contre la discrimination et la haine, qui interdit toute forme de discrimination entre les individus ou les groupes, comme ils ont lancé le Programme national pour la tolérance en 2016. La loi régissant les relations de travail pour l'année 2021 interdit toute forme de discrimination sur le lieu de travail, et le décret-loi fédéral n° 27 de 2018 prevoit l'égalité de salaire pour les deux sexes, et la résolution du Cabinet n° 43 de 2018 affirme l'interdiction de la discrimination à l'égard des personnes ayant des besoins spéciaux, Les EAU s'engagent à respecter la Convention internationale de 1958 concernant la discrimination en matière d'emploi et de profession, et s'efforcent d'encourager l'égalité des chances, de traitement et d'emploi.
Des efforts importants faits par les EAU en termes de réalisation de l'égalité et de lutte contre la discrimination ont fait l'objet d'un suivi, comme en témoigne la loi n° 2 de 2015 sur la lutte contre la discrimination et le décret sur la haine, qui vise à diffuser et à promouvoir une culture de tolérance et d'acceptation de l'autre, et à faire face à toutes les formes et manifestations de discrimination et d'inégalité. La loi traite de la discrimination et de l'inégalité à l'encontre d'individus ou de groupes fondés sur le sexe, la religion, la secte, la race ou la couleur.
Le Conseil des ministres en 2016 a adopté le " Programme national pour la tolérance " dans le but de consolider les valeurs de tolérance, de pluralisme culturel, d'acceptation de l'autre, de rejet de la discrimination et de la haine par toutes les composantes sociétales et institutionnelles.