« La situation est sous contrôle et les choses sont en train de rentrer progressivement dans l’ordre », rassure le capitaine Ibrahim Traoré, dans un communiqué lu à la télévision nationale, ce dimanche à 11h55. Après soixante-douze heures d’incertitudes, de pression et de tractations, le lieutenant-colonel Paul-Henri Damiba a-t-il rendu le tablier, ce dimanche matin ? Pour l’instant, aucune annonce n’a été faite par les mutins. Cependant, à la télévision nationale, le nouveau chef du Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration, le capitaine Ibrahim Traoré a tenu à rassurer que la situation est sous contrôle et que « les choses sont en train de rentrer progressivement dans l’ordre ».
Après avoir remercié le peuple pour son « soutien patriotique », le capitaine Traoré a invité les citoyens à vaquer à leurs occupations et à se « départir de tout acte de violence et de vandalisme qui pourraient entacher les efforts consentis depuis la nuit du 30 septembre, notamment ceux qui pourraient être perpétrés contre l’ambassade de France ou la base militaire française sise à Kamboinsin. »
« Aussi, en attendant que la lumière soit faite sur le dossier lieutenant-colonel Emmanuel Zoungrana nous appelons les vaillants citoyens au calme et à la retenue », a-t-il conclu.
Quelques minutes plus tôt, lui et ses hommes ont été accueillis par une foule au rond-point des Nations unies, alors qu’ils faisaient route vers la RTB à bord de blindés.
J’espère que les généraux milliardaires du voisin burkinabé n'ont pas rate une seule seconde de l’épopée du jeune Ibrahim Traore et qu'ils auront la dignité de retirer leur galons immérités, chier dessus avant de se pendre avec leur ceinturon, des lors que la honte ne tue plus dans ce pays.
De sa rencontre avec les Secrétaires Généraux des Ministères au Faso, voici ce qu'il faut retenir en substance:..." Nous devons faire en trois mois ce qui devrait être fait en douze mois », instruit le capitaine Ibrahim Traoré"
et quand TOTO A DIT partage, es tu obligé d'aller à la ligne ?
C’est par des propos d’excuses que le Capitaine Ibrahim Traoré et ses camarades ont entamé leurs échanges avec les secrétaires généraux des ministères dans la soirée de ce dimanche 2 octobre 2022.
"Depuis quelques jours, on a troublé vos sommeils, on a troublé le sommeil des Ouagavillois par les tirs. On n’a jamais voulu cela, mais ce sont les choses de vie", a lancé le capitaine Ibrahim Traoré.
Au cours de son tête-à-tête avec les secrétaires généraux des ministères, le Capitaine Ibrahim Traoré, entouré de ses éléments, a appelé ses hôtes à aller rapidement.
« Nous devons faire en trois mois, ce qui devrait être fait en douze mois », a invité capitaine Ibrahim Traoré, appelant ses interlocuteurs à aller vite en évitant les lourdeurs administratives.
« Il faut de rythme, il faut aller vite, il faut abandonner les lourdeurs administratives », a insisté le capitaine, pour qui, l’urgence est à tous les niveaux ; de la sécurité à l’action sociale en passant par la santé.
Suite et fin Le président du MPSR a instruit à ces responsables de l’administration de repérer également ceux qui bloquent les dossiers dans les institutions. "Repérez ceux qui, dans les ministères, bloquent les dossiers. Ce n’est pas normal, ça crée des frustrations", a soulevé le président du MPSR, capitaine Ibrahim Traoré. Il a appelé "chacun" à faire ce qu’il doit dans son travail.
Le Capitaine Ibrahim Traoré a enfin appelé chaque Burkinabè à la responsabilité. "Au Burkina Faso, on a l’art de rejeter tout sur l’autre", a-t-il effleuré dans cette rencontre qui a duré une vingtaine de minutes.
A la faveur de cette m prise de contact qu’il a eue avec les Secrétaires Généraux des ministères, dans la soirée de ce dimanche 2 octobre 2022 à Ouagadougou, le président du Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration (MPSR), le capitaine Ibrahim Traoré, a expliqué que le ravitaillement des zones isolées par l’insécurité fait partie des points prioritaires de son équipe.
Il répondait ainsi à une préoccupation soulevée par le secrétaire général du ministère en charge de l’action humanitaire.
L’autorité du ministère a expliqué qu’il y a urgence à convoyer les vivres (déjà disponibles) au sahel, où des personnes meurent de faim.
"Les vivres sont-là, tout est prêt, mais comment faire pour que les vivres arrivent vite au sahel... C’est cela notre préoccupation aujourd’hui", a, en substance, soumis le secrétaire général.
« C’est l’un des points urgents que nous allons traiter et nous allons le faire dans les heures à venir. Il n’y a pas de raison que des gens meurent de faim », a rassuré le capitaine Ibrahim Traoré, président du MPSR.
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et quand TOTO A DIT partage, es tu obligé d'aller à la ligne ?
C’est par des propos d’excuses que le Capitaine Ibrahim Traoré et ses camarades ont entamé leurs échanges avec les secrétaires généraux des ministères dans la soirée de ce dimanche 2 octobre 2022.
"Depuis quelques jours, on a troublé vos sommeils, on a troublé le sommeil des Ouagavillois par les tirs. On n’a jamais voulu cela, mais ce sont les choses de vie", a lancé le capitaine Ibrahim Traoré.
Au cours de son tête-à-tête avec les secrétaires généraux des ministères, le Capitaine Ibrahim Traoré, entouré de ses éléments, a appelé ses hôtes à aller rapidement.
« Nous devons faire en trois mois, ce qui devrait être fait en douze mois », a invité capitaine Ibrahim Traoré, appelant ses interlocuteurs à aller vite en évitant les lourdeurs administratives.
« Il faut de rythme, il faut aller vite, il faut abandonner les lourdeurs administratives », a insisté le capitaine, pour qui, l’urgence est à tous les niveaux ; de la sécurité à l’action sociale en passant par la santé.
A suivre
Le président du MPSR a instruit à ces responsables de l’administration de repérer également ceux qui bloquent les dossiers dans les institutions. "Repérez ceux qui, dans les ministères, bloquent les dossiers. Ce n’est pas normal, ça crée des frustrations", a soulevé le président du MPSR, capitaine Ibrahim Traoré. Il a appelé "chacun" à faire ce qu’il doit dans son travail.
Le Capitaine Ibrahim Traoré a enfin appelé chaque Burkinabè à la responsabilité. "Au Burkina Faso, on a l’art de rejeter tout sur l’autre", a-t-il effleuré dans cette rencontre qui a duré une vingtaine de minutes.
Il répondait ainsi à une préoccupation soulevée par le secrétaire général du ministère en charge de l’action humanitaire.
L’autorité du ministère a expliqué qu’il y a urgence à convoyer les vivres (déjà disponibles) au sahel, où des personnes meurent de faim.
"Les vivres sont-là, tout est prêt, mais comment faire pour que les vivres arrivent vite au sahel... C’est cela notre préoccupation aujourd’hui", a, en substance, soumis le secrétaire général.
« C’est l’un des points urgents que nous allons traiter et nous allons le faire dans les heures à venir. Il n’y a pas de raison que des gens meurent de faim », a rassuré le capitaine Ibrahim Traoré, président du MPSR.