Le directeur de publication du journal d’investigation nigérien “L’Événement”, par ailleurs président du Conseil d'administration de la Cellule Norbert Zongo pour le Journalisme d’Investigation en Afrique de l’Ouest (CENOZO), a reçu des menaces de mort sur son smartphone pour avoir repris sur son site un article de « Monde Afrique ».

Dans une correspondance qu’il vient d’adresser à son président, le ministre des Sports Kassoum Moctar a demandé au Comité olympique sportif du Niger (COSNI), « de surseoir à toute participation aux compétitions sportives internationales ». Selon les explications du ministre, cette décision fait suite à la propagation grandissante de l’épidémie de coronavirus (Covid-19) à travers le monde et, « des mesures préventives prises par le gouvernement pour y faire face ».Toutefois et de manière spécifique, poursuit la note du ministre, « en ce qui concerne les rencontres internationales officielles, le gouvernement étudiera au cas par cas l’opportunité d’y participer ou d’en accueillir ». A cet effet, toutes les Fédérations sportives nationales ont été invitées à prendre attache avec la Direction de la médecine du sport pour « d’éventuelles informations complémentaires », souligne le ministre qui dit « attacher du prix au respect strict de ces dispositions ».

Photo d'illustration

Le mardi 10 mars aux environs de 22H00, un bus de transport de voyageurs  communément appelé « 19 places », s’est renversé et a pris feu à son entrée à Zinder, au niveau de la garnison militaire et pas très loin de l’Hôpital national (HNZ). Les services de la protection civile se sont aussitôt rendus sur les lieux de l’accident où grâce au secours des populations riveraines, des passagers du véhicule ont pu être secourus à temps. Sur place, on a dénombré malheureusement  6 personnes qui ont trouvé la mort, dont deux enfants, et pour la plupart brulées par le feu qui s’est déclenché. Des blessés dont des cas graves ont également été admis aux urgences de l’Hôpital de Zinder où ils reçoivent des soins.

Cela fait aujourd’hui cinq (5) ans que notre pays est confronté à l’une des crises sécuritaire et humanitaire les plus sérieuses de son histoire récente. Cette double crise s’est traduite par des centaines de morts, civils et militaires, et des milliers de déplacés internes. Elle s’est traduite également par l’érosion des moyens d’existence des populations aussi bien des régions les plus affectées par les attaques des groupes armés, que des autres régions du pays qui semblent relativement épargnées.

 Communiqué du ministère De La Défense nationale

Le 07 mars, aux environs de 16 heures 15, le Poste Militaire de Reconnaissance de Chetima Wangou dans la Région de Diffa a été attaqué par des éléments de Boko Haram à bord d’une vingtaine de véhicules lourdement armés.

  Le ministre de l’Enseignement Professionnel et Technique, M. Tidjani Abdoulkadri, accompagné du Gouverneur de la région de Zinder, M Issa Moussa, du  Directeur Général du Fonds d’Appui à la Formation Professionnelle et à l’Apprentissage (FAFPA) M Abdou Djerma Lawal et des partenaires dans le domaine de la Formation  a effectué, jeudi 27 Février, une visite de travail à la SORAZ dans le cadre des activités de formation et de localisation (nigérisation) des emplois à la SORAZ.

Le Burkina Faso enregistre ses premiers cas de coronavirus. Selon la télévision publique  (RTB),  deux personnes ont été diagnostiquées positives de la maladie. Il s'agit d'un couple ayant séjourné en France. Le couple en question est de nationalité burkinabé.

L’activiste Kaka Touda Mamane Goni, militant actif et employé de l'association Alternative Espaces Citoyens (AEC), a été déféré ce lundi 9 mars 2020 à la prison civile de Niamey. Après une garde à vue de quatre (4) jours à la Police judiciaire (PJ), il a été présenté ce matin au parquet du Tribunal de grande instance hors classe de Niamey. Poursuivi pour « diffusion de données de nature à troubler l'ordre public », sur plainte de l'hôpital général de référence, il a comparu devant le procureur adjoint en l’absence de ses avocats qui observent la journée « Justice morte » qu’observe l’Ordre des avocats et l’Association des jeunes avocats (AJAN), en soutien au mot d’ordre lancé par le Syndicat autonome des magistrats du Niger (SAMAN).