Découverte d’un arsenal de guerre à la frontière Ivoiro-Burkinabé : une saisie inquiétante en plein climat de tensions régionales
Dans la nuit du 9 au 10 novembre 2024, la gendarmerie ivoirienne a intercepté un important arsenal de guerre près de Diawala, à la frontière entre la Côte d'Ivoire et le Burkina Faso, accentuant les préoccupations de sécurité dans une région déjà sous tension. En patrouillant sur l’axe Nafoungolo, les gendarmes ont surpris deux individus transportant des colis suspects vers la frontière. Les suspects ont pris la fuite, abandonnant leur chargement dans lequel les forces de l’ordre ont découvert un vaste équipement militaire : fusil AK47, obus de roquettes, munitions, tenues de treillis, batteries, antennes radios et deux motos.
Cette saisie survient alors que les relations entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso sont marquées par des accusations mutuelles et une montée des inquiétudes sécuritaires. Les autorités burkinabè pointent souvent du doigt la Côte d’Ivoire, l’accusant d’abriter des éléments hostiles cherchant à déstabiliser le Burkina Faso. La découverte de cet arsenal en zone frontalière met en lumière les défis posés par les trafics d’armes et souligne l’urgence de renforcer la surveillance et la coopération transfrontalière.
Les investigations sont en cours pour identifier les propriétaires et la destination de cet équipement, mais cette saisie met d’ores et déjà en évidence la nécessité d’une vigilance accrue face aux menaces qui pèsent sur cette zone sensible.
La découverte de cet arsenal de guerre à la frontière ivoiro-burkinabé intervient dans un contexte de relations tendues entre la Côte d'Ivoire et le Burkina Faso depuis l'arrivée au pouvoir du capitaine Ibrahim Traoré en septembre 2022. Les deux pays s'accusent régulièrement de tentatives de déstabilisation, marquées par des incidents frontaliers et des arrestations. Lors de récentes déclarations, le capitaine Traoré a accusé la Côte d'Ivoire d'abriter un « centre d’opérations » visant à déstabiliser le Burkina, soulignant l’urgence d’un renforcement de la coopération régionale pour garantir la sécurité.
Mohamed Cissé (actuniger.com)
Commentaires
Si c'étaient les Autorités ou Services de Renseignements de l'AES qui l'avaient annoncé, des Negres de service serviles, éhontés vont sortir pour bêler et hennir que c'est du pipo, de l'intox , que ce n'est pas vrai ..
Où sont ces dénégateurs Chiwawa quand l'information vient des forces de défense Ivoiriennes .....
L'AES lui observe et ne dit mot ....car consciente de qui veut semer le bordel...
Si c'etait le Capitaine Ibrahim qui avait informé l'opinion sur cette interception de matériels de désolation ces renégats Africains par accident diront que ce sont des fabulations....
ELLE SUCE NOTRE SANG ET NOUS CONDAMNE À LA MISÈRE.
ELLE NE CONÇOIT LA RELATION A NOUS QUE SOUS LE MODE DE NOTRE SOUMISSION ABSOLUE.
ELLE CROIT QUE NOUS AVONS ÉTÉ CRÉÉS, NOUS ET NOS RICHESSES, POUR LA SERVIR DE TOUTE ÉTERNITÉ.
Chaque patriote du continent doit se donner pour mission de lutter sans relâche contre nos oppresseurs multiséculaires que sont les Français et contribuer à l’effondrement du système néocolonial qui nous maintient en esclavage.