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Monsieur le Directeur de publication,

Dans l’article cité en objet, en citant,il a été écrit : « ….Il a précisé que l'Etat devait commencer à payer ces prêts depuis 1996. Le délai étant dépassé, l'Etat du Niger a été attrait en justice aux Etats Unis devant un tribunal de New York qui a condamné notre pays le 23 Octobre 1998 à payer le montant de 76 millions de dollars US…Ainsi l’Etat du Niger s’est engagé à payer ses prêts; ce qui assurément va grandir notre pays, a dit le Secrétaire Général du Gouvernement. »

Tel que présenté, l’opinion nationale non avertie retiendrait que seul,le refus de payer les prêts à l’échéance par le Gouvernement,avait été à la base du contentieux financier et la condamnation du Niger devant le tribunal de New York qui a suivi en 1998, ce qui n’est pastout à fait  le cas.

C’est pourquoi, tout en nous félicitant de l’accord obtenu de haute lutte par le Dr Gandou Zakara et son équipe pour le règlement du contentieux relatif aux deux prêts d’un montant total de 60 millions de dollarscontractés par le Niger auprès d’Eximbank Import-Export Chine-Taiwan en 1992 et 1993,vous nous autoriserez,en tant que Conseiller du Chef du Gouvernement de l’époque (PSA),pour l’information de vos lecteurs, pour l’histoire, et dans le cadre de l’obligation de reddition des comptes incombant à chaque dirigeant,à rappeler ce que cesuit :

1 -Des conditions non clarifiées du « prêt » de 10 millions de dollars attribué aux Autorités du Niger en 1993 par Eximbank –Chine-Taiwan: autant le prêt de 50 millions de dollars contracté en 1992 avait fait l’objet d’une ratification en bonne et due forme, autantsur la somme 10 millions de dollarsréclamée comme étant un prêt consenti par la partie Taiwanaise, le Gouvernement du Niger n’avait pas pu disposer d’informations complètes et fiables sur les montantset les conditions de son octroi. Raison pour laquelle, il lui était difficile d’accepter de rembourser en l’absence de bases légales.Le négociateur de l’Etat a lui-même précisé: « …des missions ont été effectuées aux Etats-Unis et à Paris pour permettre aux représentants de l’Etat du Niger de mieux comprendre tout le contour du dossier. »Le Président BARE, dans le livre entretien avec Sennen Adriamirado de JA, « Mon ambition pour le Niger » (Mai 1997, page 68), avait déclaré à propos d’une partie de ces fonds : «…..Il y a l’affaire de l’avion venu de Suisse uniquement pour convoyer des fonds importants remis à des hautes personnalités de la Troisième République. » Du reste, toujours à ce propos,l’article « Affaire Taiwan : Le gouvernement cherche encore les traces de 10 millions de dollars »du journal « La Roue De L’Histoire »,publié sur Actuniger le 7 août 2014, avait rappelé :« Depuis la sortie de cette décision (de justice), ...Les services du ministère des finances sont allés à 23 ans en arrière pour remonter les recherches. Jusqu’au moment où nous mettons sous presse, ces recherches restent encore infructueuses. Pas le moindre indice au Trésor national encore moins au niveau des autres institutions pour retrouver les documents relatifs au prêt de 10 millions de dollars qu’aurait contracté le Niger en 1993. »Enl’absence d’informations fiables sur le montant, la durée, le taux et une loi de ratification, les échéances du deuxième prêt de 10 millions de dollarsne pouvaient être honorées par le Gouvernement du Niger en 1996, sans qu’il ne viole la Constitution.

2–Les non-ditssur les montants élevés des échéances des prêts après dévaluation: exprimé en dollars, le commun des mortels ne peut pas se rendre compte de ce que représentait la charge financière de ces prêts pour le Niger en 1996. C’est pourquoi il est utile de rappeler que le renchérissement spectaculairedu principal et des intérêts de ces prêts du fait de la dévaluation du FCFA de 100%par rapport au Franc français intervenue en janvier 1994, rendait le remboursement en l’état, c’est-à-dire sans rééchelonnement très aléatoire. En appliquant les taux de conversion du dollar par rapport au FCFA, le principaldes deux prêtsétait passéde15,7 milliards de FCFAen 1993 avant dévaluation à 32, 4milliards de FCFAen 1996.Le Niger était condamné en 1998 à payer l’équivalent de.. 44,7 milliards de FCFA (76 millions de dollars) quireprésentaient 65,2% des recettes fiscales nationales.Il y a lieu de rappeler qu’à la suite de la dévaluation de 1994, l’ensemble des prêts en devises des pays de l’UMOA ont dû être rééchelonnés pour rendre les services de la dette soutenables pour ces pays. Les échéancesdes prêts taiwanais tels que négociés étaient dans tous les cas hors de portée du Trésor nigérien du fait des taux d’intérêt et de change prohibitifs.

La situation financière catastrophique du Nigerdes années 1990 du fait de la chute des cours de l’uranium, la dévaluation du FCFA, l’instabilité politique et le refus de l’ajustement économique, ne permettait pas à ce pays,qui venait de bénéficier d’un programme au titre de la FASR en juin 1996, d’honorer ces prêts onéreuxen l’état, sans dommages pour la cohésion sociale.En 1994, les salaires et traitements avaient représenté le record historique de près de 102% des recettes fiscales.En réalité, la partie taiwanaise en prêtant à un pays en quasi faillite, avait sa part de responsabilité dans le contentieux.

3 – De la rupture des relations diplomatiques comme véritable cause du procès intenté ànotre pays en 1996 par la Chine : le procès devant les tribunaux new yorkais est intervenu immédiatement après la reconnaissance par le  Niger de la République Populaire de Chine le 19 août 1996, qui a entraîné de facto le départ de Taiwan. C’est bien cette reconnaissance de la Chine qui constituait la raison principale du procès plutôt que celle avancée par les Autorités actuelles du Niger consistant à savoir: « Le délai étant dépassé, l'Etat du Niger a été attrait en justice… ». En effet, autant la partie Taiwanaise avait accordé le premier prêt de 50 millions de dollars en 1992 concomitamment à la rupture des relations diplomatiques du Niger avec la République Populaire de Chine, autant elle avait exigé le remboursement de l’intégralité des montants cumulés qu’elle estimait avoir prêté au Niger et traîné notre pays devant les tribunaux, quelques semaines après la reprise de ces relations diplomatiques avec ce pays en août 1996. Si n’est cette raison, pourquoi Taiwan avait-elle signé, le 8 juillet 1996, une convention de financement d’un (1) milliard de FCFA avec le Niger et exigé le remboursement de ses prêts quelques semaines après ? En vérité, c’est la reconnaissance de la République Populaire de Chine qui est le véritable déclencheur du contentieux financier, et cette vérité devrait être reconnue et assumée publiquement par tous. Si en plus, on rappelle que le taux d’endettement extérieur du Niger établi à 96, 6 % en 1993 était parfaitement connu lors de l’octroi du deuxième prêt de 10 millions de dollars par Eximbank-Chine-Taiwan, il devient dès lors aisé d’affirmer que le créancier taiwanais aurait une très grande responsabilité dans le défaut de paiement, même si le prêt était régulier.

4- Le Président Ibrahim Mainassara BARE avait-t-il eu raison de renouer et maintenir les relations diplomatiques avec la République Populaire de Chine malgré la menace de procès ? La réponse est évidente au vu des retombées enregistrées en matière de coopérations entre Beijing et Niamey : grâce à la coopération stratégique nouée avec ce pays depuisle 19 août 1996, le nôtre est entré dès 2012 dans le club très fermé des pays pétrolier à qui l’on déroule le tapis rouge. Depuis cette reprise le Niger a bénéficié de nombreuses infrastructures (routes, ponts, centres de santé, classes, bâtiments, hôpital de référence en Afrique, etc…), de l’assistance sur le plan agricole, de la santé, de la culture, de la formation technique et professionnelle, militaire et la sécurité en général, et la prospection hydrogéologique et minière. La Chine a ouvert une ligne de crédit d’un (1) milliard de dollars (près de 500 milliards de FCFA), c’est inédit,destinée au financement de « projets structurants ».En plus, le pays bénéficiedepuis 1996 du sécurisant et dissuasif parapluie diplomatique du nouveau partenaire qui est l’un des cinq (5) membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU. Que serait le Niger en terme économique sans ce partenariat gagnant-gagnant avec la Chine renoué en 1996 et reconduit par les différents Gouvernements au nom de la continuité de l’Etat ?

Pour conclure, nous sollicitons des acteurs,le traitement médiatique de cette affaire avec la plus grande délicatessece, d’autant plus qu’ils savent et noussavons, même sipour le présent cas nous adoptons les enseignements du proverbe wolof, cité dans ses Mémoires par le Sage Président Abdou Diouf : « La sagesse recommande ne pas dire tout ce que l’on sait.»

Nous nous félicitons toutefois de la générosité manifestée par le créancier Eximbank -Chine-Taiwan à l’égard d’un PPTE (pays pauvre très endetté) confronté à la rébellion, la sécheresse et la famine et qui occupe régulièrementle dernier rang mondialentermes d’Indice du Développement Humain (IDH). Taiwan pourrait même faire plus en effaçant purement et simplement l’ardoise.

« Le contentieux....désormaisclos », a-t-on conclu, mais la question reste posée de savoir s’il est permis de procéder auremboursement des prêts contractés au nom de l’Etat,même amputés des deux tiers des montants exigibles, sans pour autant les avoir au préalable ratifiés ? C’est une simple question dont nous espérons la réponse.

En espérant avoir apporté des éclaircissements utilesà vos lecteurs, surtout les plus jeunes, recevez mes salutations chaleureuses.

Bon ramadan !!

Le 07 juillet 2015

Djibrilla Mainassara Baré – Ancien Conseiller Spécial du Président de la République

Consultant en Banque et Finances/DESS Banque et Finances/DESS Economie du Développement

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Rapports Chine Niger

$1-       20 juillet 1974 : Etablissement des relations diplomatiques entre la République populaire de Chine et la République du Niger suivi du départ de Taiwan 19 juillet 1992 : Reprise des Relations diplomatiques entre le Niger et Taiwan avec Taiwan par le gouvernement transitoire

$1-       30 juillet 1992 : Rupture des relations diplomatiques entre le Niger et la République populaire de Chine du fait de la reprise des rapports avec Taiwan le gouvernement transitoire 11 jours plus tôt

$1-       19 août 1996 : Reprise des relations diplomatiques entre la République Populaire de Chine et la République du Niger rompues en 1992

$1-       Août 1996 : Rupture des relations diplomatiques entre le Niger et Taiwan

Bio express du Président Ibrahim MainassaraBaré artisan du rétablissement des relations diplomatiques avec la Chine le 19 août 1996

Né le 9 mai 1949 à Maradi

Officier des Forces Armées Nigériennes

Ministre puis Ambassadeur

Conseiller Militaire du Premier Ministre de Transition, Chef de l’Etat et du Gouvernement, Chef Suprême des Armées

Chef d’Etat-Major Particulier du Président de la République

Chef d’Etat-major Général des Forces Armées Nigériennes

Président du Conseil de Salut National, Chef de l’Etat du 27 janvier au 09 août 1996

Président de la République, Chef de l’Etat, Chef du Gouvernement du 09 août 1996 au 09 avril 1999

Etudes et diplômes

- Etudes primaires, à Ayérou, Niamey, Tillabéry, Diffa : CEPE ;

- Etudes secondaires au Lycée National de Niamey actuel Lycée Issa Korombé, de 1963 à 1970, BEPC et Baccalauréat A4 ;

- Formation militaire initiale à l’Académie Militaire Malgache d’Antsirabé d’octobre 1970 à juillet 1973, Diplôme d’Officier de carrière;                                    

-  Brevet de l’Athlète MALHASY 1972 ;

- Diplôme de Surveillant de Baignade 1972

- Ecole d’Application d’Infanterie (IAI) de Montpellier en France de septembre 1974 à  août 1975, Certificat de Fin de Stage d’Application Infanterie ;

- Stage d’Officiers Instructeurs Commando, mai à juin 1975, Certificat de fin de stage d’Officiers Instructeurs Commando en septembre 1975 ;

- Certificat d’Aptitude aux fonctions de largueur de personnel sur TRANSALL

- Stage de Certificat de Langue Française du 2nd et 3ème degré au début du 3ème trimestre 1975, Certificat de Langue Française du 2nd degré ; Certificat de Langue Française du 3ème degré

- Stage d’Officiers Troupes Aéroportées (TAP) à Pau en France de septembre à octobre 1980, Certificat d’Aptitudes aux TAP d’Officier Active;

- Stage des Cours de Capitaines à Montpellier à Montpellier (France) en août 1981 Attestation de Fin de Stage de Perfectionnement des Capitaines TAP;

- Stage des Officiers spécialistes en techniques aéroportées à Pau (France) de mars à juin 1984 Certificat d’Officier Instructeur de Parachutiste;

- Cours de pilotage : Brevet de Pilote Privé « Avion » qualification bimoteur 

- Stage d’Etat-major de Compiègne en France de mars à juin1984 : Diplôme d’Etat major

- Stage au Collège Inter armées de Défense à Paris (France) de juin 1994 à juillet 1995 (2nd promotion), Brevet d’Etudes Militaires Supérieures délivré par le Collège Inter armées de Défense.

Fonctions militaires

- 1er octobre 1970 : incorporé aux Forces Armées Nigériennes en qualité d’Engagé Volontaire ;

- 1er septembre 1973 : Affecté au Centre d’Instruction des Forces Armées Nigériennes de Tondibia ;

- 1er mai à septembre 1974, puis de septembre 1975 à aout 1976 : Aide de Camp du Lieutenant-colonel SeyniKountché, Président du Conseil Militaire Suprême, Chef de l’Etat ;

- Cumule les fonctions d’Aide de Camp du Chef de l’Etat avec celles d’Adjoint au Chef de corps de la Garde présidentielle ;

-1er septembre 1976  au 1er aout 1978 : Commandant de la Garde présidentielle

-1er août 1978 au 12 septembre 1980 Commandant de la Compagnie Parachutiste de Niamey (1er séjour)

- 15 février 1982 au 22 mars 1984 Commandant de la Compagnie Parachutiste de Niamey (2ème séjour) ;

- 25 juin au 1984 au 1er septembre 1984 Commandant de la Compagnie Parachutiste de Niamey (3ème séjour)

- Septembre 1984 : Chef du 3ème Bureau de l’Etat-major Général des Forces Armées Nigériennes ;

- Décembre 1985 : Attaché militaire à l’Ambassade du Niger à Paris ;

- Pour compter du 21 août 1992 : Chef du Bureau de la Coopération Militaire au Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération à Niamey ; cumule ces fonctions avec les suivantes:

- A compter du 23 septembre 1992 : Conseiller Militaire du Premier Ministre de Transition SE Cheiffou Amadou, Chef de l’Etat, Chef du Gouvernement, Chef Suprême des Armées aux lendemains de la Conférence Nationale Souveraine, cumulativement avec ses fonctions précédentes de Chef du Bureau de Coopération Militaire ;

- Mai 1993 - juin 1994 : Chef d’Etat-major Particulier du Président de la République Mahamane Ousmane, Responsabilités assumées jusqu’à son départ en stage en France ;

- du 15 mars1995 : Chef d’Etat-major général des Forces Armées Nigériennes, Fonctions assumées jusqu’au coup d’Etat militaire qu’il a perpétré le 27 janvier 1996.

Fonctions politiques

- Du 7 septembre 1987 au 10 mars 1988 : Ministre de la Santé publique et des Affaires Sociales (Gouvernement dont le Premier Ministre était M. Hamid Algabid ; le Chef de l’Etat et du Gouvernement étant d’abord le Général SeyniKountché et ensuite le Général Ali Saibou) ;

- A compter du 15 juillet 1988 : Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire du Niger auprès de la République Française, du Royaume d’Espagne, de la  Grande-Bretagne et du Portugalavec Résidence à Paris ;

- A compter du 29 janvier 1990 : Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République du Niger auprès de la République Algérienne Démocratique et Populaire avec résidence à Alger ;

- 15 mars 1995 : Chef d’Etat-major Général des Forces Armées Nigériennes ;

- 27 javier 1996 au 9 août 1996 : Président du Conseil de Salut National (CSN) et de facto Chef de l’Etat, Chef du Gouvernement; le CSN étant un Directoire militaire mis en place suite au coup d’Etat militaire du 27 janvier 1996 ;

-9 août 1996 au 9 avril 1999 : Président de la République, Chef de l’Etat, Chef du Gouvernement

Grades successifs du Général Ibrahim MainassaraBaré dans les Forces Armées Nigériennes

- Aspirant – le 1er octobre 1970

- Sous-lieutenant – le 1er octobre 1973

- Lieutenant – le 1er octobre 1975

- Capitaine – le 1er octobre 1980

- Chef de bataillon – le 1er octobre 1986

- Lieutenant-colonel – le 1er janvier 1993

- Colonel  – le 1er octobre 1995

- Général de brigade (avancement exceptionnel) – le 15 mai 1996.

Décorations

- Chevalier dans l’Ordre National du Niger ;

- Chevalier de la Légion d’Honneur (France) – Décret n°113 LHE 82 – Prise de rang le 21 mai 1982 ;

- Lettre de félicitations du Chef d’Etat-Major Général des Forces Armées Nigériennes– :

- Brevet d’Ordre National de la Légion d’honneur de la République française

- Brevet d’Ordre National de la République Populaire Révolutionnaire de Guinée ;

- Brevet d’Ordre National de la République du Bénin (Commandeur) ;

- Brevet d’Ordre du mérite de la République Fédérale d’Allemagne (Commandeur) ;

- Brevet d’Ordre du mérite du Royaume d’Arabie Saoudite.

- Officier dans l’Ordre National du Niger ;

- Grand Officier dans l’Ordre National du Niger ;

- Commandeur dans l’Ordre National du Niger ;

- Grand-Croix dans l’Ordre National du Niger : 7 août 1996

- Diplôme de Docteur Honoris Causa du Centre d’Etudes Diplomatiques et Stratégiques (CEDS) de Paris à titre posthume en juin 2003



Commentaires

0
Modibo
8 années ya
Cette contribution ne nous avance en rien. Pour le pr
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3
GASKYA
8 années ya
En fait si tu lis bien la contribution t'informe que
1 - le Pr
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0
killman
8 années ya
La reprise des relations diplomatiques avec la chine continentale fait partie des reussites de Feu Baare. Comme visionnaire, Il a bien fait de reconnaitre la chine car Taiwan n`a pas d`avenir. C`est une creation superficielle de l`Occident. tot ou tard, Taiwan va etre incorporer dans la chine continentale. L`amerique ne peut plus supporter une guerre contre la chine et la russie (comme des allies). Les Allemands veulent une revanche (proche des russes), les anglais sont faibles, et les francais sont des peureux et geulards (quand les armes parlent , les geulards se cachent) et il n' y aurait plus de tirrailleurs senegalais pour les defendre.
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0
Katchitchikatchitchi
8 années ya
Merci pour l'
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